FIFI LES BONS TUYAUX

FIFI LES BONS TUYAUX
FIFI LES BONS TUYAUX : Le p'tit prono de Fifi à Mauquenchy le mercredi 19 novembre (4-12-9-8-7-2-6-1)

FRANCE : L'ENFANT ROI...

 « Malheur à toi, pays, dont le roi est un enfant »

Avant-propos. 

Je me pose énormément de questions sur la personnalité de monsieur Macron :

Dans cette perspective, je vais décrire à nouveau le système politico administratif qui existe dans notre pays et qui a permis son accession au pouvoir. Pour cela, je reprends les premiers paragraphes d’un article que j’avais écrit sous le même titre en 2020 (en italiques). Puis je passerai à ce que je crois avoir compris du personnage.

La Bible est remplie de phrases mystérieuses comme celle que j’ai choisie comme titre pour cet article et il est d’usage de dire que ce genre de phrases peut avoir trois sens :

Littéral. Historiquement, les villes dont le roi était un enfant n’ont pas connu des sorts très enviables.

De bon sens : Quand la légitimité est incarnée par un enfant dont les « grands » autour de lui n’ont pas physiquement peur, la tentation est grande de s’en débarrasser, ce qui amène assez facilement à des guerres civiles.

Caché : Et c’est là que les exégètes et les rabbins s’en donnent à cœur-joie pour faire dire des choses au texte parfois… tout à fait surprenantes.

Bien entendu, c’est à une explication du troisième type que je vais avoir recours dans ce papier, et la voici. Qu’est que l’enfance après tout si ce n’est la période où l’on apprend, quelque peu contraint, les règles de la vie en société, et pendant ces années, il n’est pas recommandé au « jeune » de mettre cette discipline en question.

Ancien élève des Jésuites ou des lycées de la République, je peux assurer le lecteur qu’il ne valait mieux pas discuter avec les professeurs de cette époque du bien-fondé des règles qu’ils nous imposaient avec beaucoup de conviction. Les choses auraient changé, paraît-il…

Mais je vais plus loin : l’enfant, pour se construire doit vivre dans un monde stable où règne la Loi, communément assimilée au père. D’innombrables études montrent que le facteur déterminant dans l’échec scolaire et la criminalité chez les adolescents provient de l’absence de la figure paternelle. Dans le fond, suivre l’exemple paternel quand l’on est enfant revient à s’assurer une jeunesse heureuse. Et puis arrive l’âge adulte où l’on doit appliquer ce que l’on a appris dans la vraie vie. Et c’est à ce moment-là que l’on se rend compte qu’il y a des moments où il faut parfois désobéir aux règles et briser les tabous. Et ce jour-là, on cesse d’être un enfant et l’on devient un adulte, au mieux, capable de devenir un prince ou un roi puisque l’on devient capable de se gouverner soi-même et donc de gouverner les autres ou, au pire, l’on finit pendu.

Allons un peu plus loin.

Dans toute Nation, il y a d’abord le Peuple en qui, de nos jours, réside la Souveraineté. Pour que la Nation soit défendue il lui faut un Etat, à qui sont confiés les privilèges régaliens (Défense, Justice, Police, Diplomatie) et cet état est constitué de deux parties :

Une administration, dont on s’attend à ce qu’elle suive des règles bien établies pour gérer au jour le jour les choses prévisibles et répétitives.

Un pouvoir politique (l’exécutif, dans notre jargon actuel, le Roi, au sens ancien du terme) qui lui sera chargé de gérer l’imprévisible et l’inattendu.

Si j’en crois la Bible, le pouvoir administratif peut-être confié sans dommage à ceux qui ont comme ambition de rester des enfants toute leur vie en refusant toute prise de risque, mais par contre, le pouvoir politique doit être confié uniquement à ceux qui, un jour, ont commandé face à l’incertitude, ont pris des risques et ont eu raison. C’est ce que Nassim Taleb appelle « mettre sa vie en jeu ». Seuls ces individus devraient être appelés aux plus hautes fonctions car ils ont cessé d’être des enfants. 

Notre Président n’a jamais commandé quoi que ce soit, sauf dans ses rêves, et il est donc resté un enfant. Il pense que commander c’est donner des ordres alors qu’il s’agit de donner l’exemple.

Je crains que notre Président ne soit un être inachevé qui fondamentalement est resté un enfant.

Question : Quelles sont les caractéristiques de l’enfance, pour moi en tout cas ? La réponse est d’abord, une relation très spéciale avec le temps. Le temps n’existe pas, car l’enfant vit dans un présent perpétuel et il n’y a pas d’avant et d’après. Les événements sont comme des bulles que le vent souffle et qui ne sont pas reliées entre elles.

Ensuite, la frontière est très floue entre ce qui se passe et ce que l’on imagine qui est en train de se passer. Nous avons tous marché sur le bord d’un trottoir en imaginant que nous étions au-dessus de deux gouffres vertigineux à droite et à gauche. Vers 15 ans, ce genre d’expérience disparaît.

Enfin, l’enfant vit dans un monde « héroïque » au centre duquel il est, ce qui lui permet, dans son imaginaire, d’être l’objet de toutes les adulations.

Ces trois caractéristiques, incapacité de se placer dans le temps et d’y incorporer le résultat logique de ses actions dans le bon ordre, monde imaginaire où l’on se déguise en pilote de chasse ou en sous marinier, narcissisme enfantin, semblent bien être les caractéristiques de l’enfant qui nous gouverne et qui est bien parti pour faire le malheur de notre pays.

Nous avons vu notre Président successivement dans les rôles de :

Steve Jobs transformant la France en une nation start up

Pasteur nous guérissant du Covid tandis que la Déesse Science s’inclinait respectueusement devant tant de génie.

Top gun en se déguisant en pilote de chasse alors qu’il n’a fait que de la trottinette.

Churchill arrêtant la barbarie totalitaire qui vient toujours de l’Est (mais jamais du Sud)

Lyautey apportant aux populations Africaines les bénéfices d’une société fondée sur les principes qui supportent les mouvements LGBTQ +

Et nous voici maintenant avec Bonaparte au Pont d’Arcole, emmenant les innombrables armées de la République vers une victoire certaine car moralement justifiée, Hélas, comme le disait Voltaire : « Dieu semble bien avoir une préférence pour les grandes armées contre les petites ».

Si nous partons en guerre contre la Russie, ce qui reste de nos forces armées sera écrasé en cinq minutes, ce qui laissera Neuilly sans défenses contre les envahisseurs venus de la Seine Saint Denis.

Voilà qui me rappelle fâcheusement Néron qui, forcé de se suicider, le fit en disant « hélas, quel immense artiste meurt avec moi.

Notre Président, comme Néron qui assassina sa mère, est un être creux qui comble sa vacuité par des costumes de théâtre.

La première question que chaque citoyen devrait donc se poser est la suivante :

Qui a amené cet enfant incompétent au pouvoir, comment cela s’est il passé dans la réalité et quels sont les forces qui le soutiennent encore, et pourquoi ?

Et la deuxième est : quelles sont ces Institutions qui permettent l’arrivée au pouvoir suprême de pantin après pantin. Il faut d’urgence abandonner cette Constitution désastreuse que nous a imposée Michel Debré, fossoyeur de la France, inventeur de l’ENA, de l’École Nationale de la Magistrature, de la fusion des banques d’affaires et des banques de dépôts etc… pour la remplacer par une Constitution où le Souverain, le Peuple, aura le vrai pouvoir au lieu d’un petit marquis à talons rouges que les puissances d’argent ont sorti de leurs chapeaux pour mieux nous contrôler.

La démocratie représentative est morte en se transformant en inaptocratie corrompue et vendue aux ennemis de l’intérieur et de l’extérieur.

Longue vie à la vraie démocratie, la démocratie directe qui rendra le pouvoir au seul Souverain, le Peuple.

Source : https://institutdeslibertes.org/malheur-a-toi-pays-dont-le-roi-est-un-enfant/

Auteur : Charles Gave

Economiste et financier, Charles Gave s’est fait connaitre du grand public en publiant un essai pamphlétaire en 2001 “ Des Lions menés par des ânes “(Éditions Robert Laffont) où il dénonçait l’Euro et ses fonctionnements monétaires. Son dernier ouvrage “Sire, surtout ne faites rien” aux Editions Jean-Cyrille Godefroy (2016) rassemble les meilleurs chroniques de l'IDL écrites ces dernières années. Il est fondateur et président de Gavekal Research (www.gavekal.com).


PHILOSOPHIE : TRANCHE DE VIE SELON JACKTURF !

Ah les cons, l'être humain est une chose que je qualifierai de Pas Vraiment Fini, il ne sait rien de l'existence de l'Univers, de son Créateur ou de la Loi des nombres, mais croit tout savoir, le bien le mal, le fini et l'infini, le visible et l'invisible, l'amour et la haine, tout cela se perdant dans un méli-mélo ou le verbe se mélange à la physique quantique. Nous sommes tous la, ici-bas, à vivre une vie qui nous dépasse, en luttant plutôt que de vivre...livrés à nous même, à nos humeurs plutôt qu'à notre raison. Pauvre de nous, qui laissons, faute de courage, d'autres vivre notre vie, au travers de leurs cauchemars, qui nous imposent leurs lois et vision du vivre ensemble

Alors, nous bêlons avec les loups et hurlons sur les brebis, c'est tellement plus facile...Pauvre être humain, qui ne sait même pas ce qu'il fout sur cette planète, pour une durée de vie tellement courte au regard de l'immensité de l'Univers, que tout cela en est dérisoire...Mais est-il seulement capable de le comprendre, d'aborder la vie autrement que par le temps présent ? Évidemment que non, tout cela le dépasse, sa vie défilant devant lui à la vitesse de la lumière..

Je nais, je trime, je procrée et je meurs, ultime hymne à la vie, mais franchement, qui se fout de nous dans ce capharnaüm de vérités...Dieu ou Satan ? ou les deux à la fois ? complices comme cochons pour nous juger avant que d'être...Comprenons par la, que personne n'est maître de son destin sur cette Terre, même pas celui qui naîtra avec une cuillère en argent dans la bouche, la faucheuse se fichant pas mal de votre titre de naissance.

Comprenez par cette entame, que les peuples sont pieds et poings liés par leur soumission à quelques chefs de meutes, qui d'un ton péremptoire leurs ordonneront à tel ou tel moment de l'histoire de l'humanité, d'aller au sacrifice sans qu'aucune raison valable ne leur soit jamais donné. Et tous, obéissant servilement aux Chefs de meutes, fonceront têtes baissés, vers leur tragique destin, ainsi en a décidé la Bête.

Comprenons par la, que l'être humain n'est que l'unique objet de désir des puissances du mal qui gouverne cette planète. Quand Jésus, dit que mon royaume n'est pas de ce monde (Jean 18:36), il ne veut pas dire autre chose. C'est pourtant simple à comprendre. Mais il est vrai qu'à leur décharge, la majorité des habitants de cette planète ne dépassent guère 60 de QI. Les prédateurs qui nous gouvernent l'ayant bien compris, manipulant ainsi les populaces à volonté.

Glissant par exemple ce genre d'axiome, nous existons pour évoluer...Belle blague en soi, l'être humain étant déjà doué de raison, connaissant la nature du bien et du mal, s'il naît stupide, mille ans plus tard il sera toujours stupide, son évolution étant terminé depuis belle lurette. C'est donc une chimère de faire croire aux autres, que dans quelques siècles l'être humain sera libéré de ses chaînes.

Baliverne, il y aura toujours les Soumis et les Seigneurs...Il faut bien des moutons serviles et malléables à volonté, pour que d'autres mènent la danse et quand l'I.A sera achevé, les trois quarts de l'humanité pourra disparaître de la surface de la terre, sans que personne n'y trouve à redire. Ainsi va le monde...

Au final, ce que j'essaie d'expliquer, la vie sert à exprimer un pouvoir sur soi-même qui devrait affranchir vers la liberté. Pour qu'un être humain devienne libre, il ne doit être conditionné ni par les circonstances ni par ses besoins matériels, ni par ses passions et encore moins par ce qu'on lui demande de prendre pour acquis. Malheureusement, il est trop tard, bien trop tard, étant désormais conditionné, pour obéir aux chefs de meutes...

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