Déjà en juillet dernier, l’ancien président des États-Unis avait été visé par des coups de feu en plein meeting à Butler en Pennsylvanie. Il avait été blessé à l’oreille. Un spectateur avait été tué et deux autres personnes, blessées.
On sait à présent que le tireur présumé s’appelle Ryan Wesley Routh (ci-dessus), et qu’il voulait filmer l’assassinat de Donald Trump. Il aurait posté sur les réseaux sociaux de nombreux commentaires, dont certains antisémites.
D’autre part, après le débat truqué entre Kamala Harris et Donald Trump, un informateur d’ABC, la chaîne organisatrice, affirme ceci, témoignant sous serment devant notaire : “J’ai enregistré plusieurs conversations qui prouvent qu’ABC s’est coordonné avec la campagne de Kamala pour lui livrer des exemples de questions qui lui seraient posées, et qu’elle lui a donné l’assurance que Trump serait fact-cheeké, alors que Kamala ne le serait pas”. L’équipe de campagne de Kamala a par ailleurs aussi envoyé une liste de sujets sur lesquels elle interdisait que les modérateurs d’ABC lui posent des questions, notamment son mandat de procureur en Californie. La campagne de Trump n’a pas été incluse dans ces échanges. (Note, il se dit depuis, que ce lanceur d'alerte serait mort dans un accident de voiture, c'est vrai que ce serait plus pratique...A confirmer...).
On comprendra, après ce débat truqué et deux tentatives d’assassinat, que l’Etat profond est prêt à tout pour empêcher Donald Trump de gagner le 5 novembre prochain, et que les démocrates et les médias, par leurs propos haineux, poussent au crime contre l’ancien président.
Insufflez insidieusement à longueurs d'ondes que Trump est le digne héritier d'Hitler, qu'il est un danger pour la démocratie et il se trouvera fatalement quelques esprits fragiles pour prendre la propagande Démocrate pour argent comptant. On appelle cela un "meurtre" par procuration (Hercule Poirot).
Au final, reste à savoir combien de temps durera l'insolente chance de Donald Trump, réponse avec le fameux adage "jamais deux sans trois"...
Langley, Virginie, une trentenaire d’origine hispanique arpente d’un pas assuré les couloirs lumineux du siège de la CIA. En fond sonore on peut l’entendre revendiquer haut et fort son identité de « milléniale », « cisgenre », « intersectionnelle » tout en clamant son épanouissement personnel au sein du service de renseignement extérieur américain. Cette scène se déroule dans une des vidéos de recrutement du cycle « Humans of the CIA ». Publiée par l’agence au début de l’année 2021, elle met en scène plusieurs membres du service se réclamant des divers pans de l’idéologie « woke »
Historiquement, le mouvement « woke » trouve ses sources dans les mouvances anti-racistes afro-américains des années 60. Il va connaître une seconde jeunesse au début des années 2010 et finir par rallier plusieurs mouvements jusqu’à devenir une « convergence des luttes à l’américaine ». Aujourd’hui, le « wokisme » représente le mouvement majeur de la gauche sociétale contestataire. Très populaire chez les jeunes, il porte des idées aussi variées que la justice sociale, certaines politiques identitaires ou encore le féminisme radical. Il englobe plusieurs sous-mouvements (qui ne sont pas toujours d’accord entre eux) tels que « Black Lives Matter » ou encore certaines associations « LGBTQIA ».
Il n’aura pas échappé au lecteur averti l’apparente contradiction qui transparait ici. En effet, comment un service gouvernemental tel que la CIA, qui a planifié des assassinats, contribué à dissimuler des exactions sur les populations civiles afghanes ou encore mis illégalement sous surveillance des journalistes américains et des militants pacifistes, pourrait désormais se réclamer de la justice sociale, du féminisme et du droit des transsexuels ? Une telle connivence n’est cependant pas si dénuée de sens au regard de l’Histoire de la CIA et de ses rapports avec les mouvements de la « gauche progressiste ».
Une vraisemblable proximité :
L’idée d’une pénétration idéologique de la CIA par le mouvement « woke » n’est pas si absurde. En effet, l’institution s’est toujours montrée sensible aux idées progressistes. Cela est, en partie, due à une certaine identité héritée de son ancêtre, l’Office of Strategic Services (OSS), une « création de l’américanisme progressiste du clan Roosevelt » reposant sur « des réseaux d’influence et d’espionnage privés entre les grandes familles progressistes de l’Est des USA liées à des élites britanniques ».
Cette compatibilité avec les idéaux de la gauche contestataire a continué de se manifester durant la guerre froide. Il convient de prendre pour exemple de ce phénomène le cas de John Brennan, directeur de la CIA de 2013 à 2017 et membre de l’agence pendant plus de 25 ans. M. Brennan a été, à l’issue de sa cessation de fonction au sein de l’agence, au cœur d’un scandale l’accusant d’avoir été membre du parti communiste durant la guerre froide. Bien que niant en bloc ces accusations, M. Brennan reconnait avoir, en 1976, voté pour Gus Hall, candidat communiste à la présidence des Etats-Unis. Il s’empressa d’ajouter qu’il avait, lors de son processus de recrutement par l’agence au début des années 80, rendu compte de cette information.
Ainsi, en pleine guerre froide, affirmer partager les idéaux communistes ne s’avérait pas rédhibitoire pour intégrer l’entité se définissant comme la « première ligne de défense de la nation » face à l’URSS. Il permettait même d’en devenir, à terme, le directeur.
D’autant que la longue carrière de M. Brennan dans l’institution n’a en rien tari son appétence pour les idéaux de la gauche contestataire. Ainsi, quelques mois après sa prise de poste à la direction de Langley, le nouveau numéro 1 de la première agence de renseignement de la première puissance mondiale s’est empressée de faire diffuser, en juillet 2014, un rapport de 16 pages intitulé « Diversity and Inclusion at the CIA » au sein duquel il affirmait que la diversité était « le premier impératif d’un service de renseignement ». M. Brennan persiste et signe en 2016 dans le rapport « CIA Diversity and Inclusion Strategy (2016-2019) » en mettant l’emphase sur la nécessité « d’adopter et de promouvoir la diversité à travers une culture inclusive ».
Bien que John Brennan constitue un cas d’école dans l’illustration de la proximité de la CIA avec les idéaux de la gauche progressiste, il est possible de retrouver cette accointance chez d’autres personnels de l’agence, notamment au travers de l’implication politique de certains de ses membres.
Un potentiel changement de paradigme stratégique :
La communication « CIA woke » pourrait, plutôt qu’une « sortie du bois » idéologique motivée par l’arrivée au pouvoir de Joe Biden, découler d’une volonté de l’agence d’adapter son image aux évolutions de la société américaine. En effet, Langley fait aujourd’hui face à des difficultés de recrutement. La flambée des prix de l’immobilier en Virginie, la différence de salaire avec le privé ainsi que les divers scandales ayant éclaboussé l’agence en ont fait un employeur peu attrayant. La conversion de Langley à l’idéologie « woke » pourrait être interprétée comme une opération de séduction à destination de certains profils intéressant les services.
Il apparaît opportun de citer ici le cas de certaines minorités d’origine extra-américaine disposant de compétences linguistiques et se révélant très sensibles aux idées de justice sociale portées par le mouvement « woke ». Il est également intéressant de mentionner les jeunes diplômés des universités américaines. Ces dernières constituent aujourd’hui un bastion de l’idéologie « woke ». Se présenter comme relai de ce mouvement permettrait à Langley de redorer son blason auprès de ces entités, lesquelles pourraient en retour fournir dans la durée des individus dépositaires de connaissances techniques valorisables pour le service.
L’importance de la composante recrutement dans la communication « woke » de la CIA peut être observée au travers du rapport « 2020-2023 CIA Diversity and Inclusion Strategy ». Contrairement aux précédentes versions évoquées plus tôt, l’idée d’attrait et de fidélisation de profils de qualité est omniprésente. Sans nier son importance, le rapport relègue la mise en conformité à l’idéologie « woke » au rang de moyen d’atteindre un objectif alors qu’il était auparavant considéré comme une fin en soi.
Une stratégie éminemment risquée :
En se rapprochant du mouvement « woke » la CIA adopte une stratégie pouvant se révéler extrêmement préjudiciable. En effet, bien que progressiste, l’agence défend un socle de valeurs en opposition avec celles dont le « wokisme » fait la promotion. Il convient de prendre pour exemple de ce phénomène la mise au pinacle de l’individu déconstruit et de l’identité communautaire par les divers courant de la « gauche progressiste » s’opposant à l’exaltation du sacrifice individuel au service du collectif symbolisé par les célèbres étoiles commémoratives dans le hall d’accueil de Langley.
Cette divergence de valeurs induit naturellement une interrogation quant à la loyauté des « progressistes ». En effet, les diverses composantes du mouvement « woke » se sont régulièrement opposées à l’Etat américain et à ses institutions. Le cas le plus évocateur demeure celui de « Black Lives Mater » qui, à l’issue du décès de George Floyd dans le cadre d’une opération de police, avait organisé de nombreuses manifestations violentes. Ces dernières prirent pour cible des lieux représentant le pouvoir institutionnel (Commissariats, palais de Justice, bâtiments publics) mais aussi des symboles d’une Histoire américaine jugée trop blanche par les tenants du mouvement. A la lumière des ces faits, il apparaît comme légitime de questionner la loyauté d’individus se réclamant de la mouvance idéologique « woke » à l’égard d’une institution cardinale des Etats-Unis telle que la CIA dans le cadre ou celle-ci serait amenée à mener des actions contraires aux « valeurs woke ».
La stratégie suivie par la CIA s’avère d’autant plus dangereuse qu’outre le fait d’attirer des profils « woke » dont la viabilité demeure discutable, elle pourrait rebuter des profils, plus traditionnels, en phase avec les valeurs de l’agence. Une telle manœuvre risque de se révéler extrêmement préjudiciable dans la durée, aboutissant à une institution incapable de penser sa mission hors du prisme « woke ». Or ce dernier est au métier de renseignement ce que la barre à mine est à la chirurgie : grossière, inefficace, déplacée.
Le renseignement est « un métier de voyou fait par des seigneurs ». Là où il requiert de la finesse, le « wokisme » n’offre qu’une vision manichéenne de la réalité. Là où il demande une volonté de compréhension d’autrui, le « wokisme » ne propose que l’anathème. Là où il exige une capacité de raisonnement rationnelle, le « wokisme » s’enorgueillit d’une approche émotionnelle des situations. Là où il recherche la vérité, si déplaisante puisse-t-elle être, le « wokisme » ne cherche qu’à confirmer ses dogmes.
La contamination des matrices de réflexion du renseignement américain par l’idéologie « woke » aurait de grandes chances d’aboutir à une perte d’efficacité plus que significative de la CIA.
Déclin ou outil de manipulation indirecte :
Par ailleurs, dans l’éventualité où cette contamination serait avérée, le maintien de la CIA serait bien plus préjudiciable que son autodestruction. En effet, en ce cas, l’idéologie « woke » disposerait dans son arsenal d’un service expérimenté résolument offensif possédant de solides réseaux permettant un développement rapide de l'idéologie à l’international.
En définitive, que la CIA soit réellement « woke » ou qu’elle ne cherche simplement qu’à changer son image à des fins de recrutement représente dans les deux cas une victoire pour le mouvement de gauche contestataire. Dans la première éventualité, cela signifierait que le mouvement est devenu assez étendu pour se propager jusqu’au cœur des institutions américaine. Dans le second, ce serait un témoignage de la puissance du courant : le « wokisme » serait devenu assez important pour contraindre un service tel que la CIA à lui prêter allégeance.
Cependant, cette victoire reste en demi-teinte puisqu’elle devrait pousser le mouvement « woke » à assumer une contradiction désormais évidente. Dès sa création, le « wokisme » n’a eu de cesse de se présenter comme le David vertueux luttant contre le Goliath institutionnel oppressif. Ce narratif a permis au mouvement « woke » de justifier ses actions, si extrêmes fussent-elles et de bénéficier d’une certaine sympathie au sein de la population. Mais la stratégie de victimisation est peu compatible avec un service de renseignement qui s’inscrit dans le cycle de frappes ciblées par drones pour éliminer des ennemis de la première puissance mondiale. A moins qu’elle ne soit un moyen de plus pour pénétrer certaines sociétés civiles étrangères comme ce fut le cas entre 1947 et 1974. Durant cette période de la guerre froide, un département spécial de la CIA manipula sans qu’elles s’en doutent, des revues d’extrême gauche dans le monde occidental pour affaiblir l’URSS par des discours critiques émanant de son propre camp idéologique.
Lucas Wendling
Etudiant de la 25ème promotion SIE
Bibliographie :
Rapports officiels :
- Central Intelligence Agency, « Diversity and Inclusion at the CIA », publié en Juillet 2014.
- Central Intelligence Agency, « CIA Diversity and Inclusion Strategy (2016-2019) » publié en 2016.
- Central Intelligence Agency, « CIA Diversity and Inclusion Strategy (2020-2023) » publié en 2020.
Ouvrage clé
- Frances Stonor Sanders, Qui mène la danse ? La CIA et la guerre froide culturelle, Paris, Denoël, 2003.
Une société de fabrication de boucles d'oreilles répond aux rumeurs selon lesquelles Kamala Harris aurait porté son appareil lors du débat présidentiel
« Nous ne savons pas si Mme Harris portait un de nos produits. La ressemblance est frappante et même si notre produit n'a pas été spécialement développé pour être utilisé lors des débats présidentiels, il y est néanmoins adapté », a déclaré Malte Iversen, directeur général d'Icebach Sound, à Just the News mercredi.
Certains ont émis l'hypothèse que Kamala Harris aurait porté un dispositif de triche lors du débat contre Donald Trump mardi. Le dispositif en question était une paire de boucles d'oreilles ressemblant à une paire d'écouteurs qui ressemblent à des boucles d'oreilles. L'entreprise qui fabrique ces écouteurs déguisés a désormais publié une déclaration à ce sujet.
« Nous ne savons pas si Mme Harris portait l’un de nos produits. La ressemblance est frappante et même si notre produit n’a pas été spécialement développé pour être utilisé lors des débats présidentiels, il y est néanmoins adapté », a déclaré mercredi à Just the NewsMalte Iversen, directeur général d’Icebach Sound . « Pour garantir des conditions de jeu équitables aux deux candidats, nous développons actuellement une version masculine et serons bientôt en mesure de la proposer à l’équipe de campagne de Trump. Le choix de la couleur est cependant un peu délicat car l’orange ne se marie pas bien avec beaucoup de couleurs. »
Traduction :On la voit porter une boucle d'oreille développée par Nova Audio Earrings, vue pour la première fois au CES 2023. Cette boucle d'oreille possède des capacités de transmission audio et fait office d'écouteur discret.
Note de Jackturf : Hormis cette anecdote, il faut saluer le tour de force de SPACE X(Fondée le 6 mai 2002 par Elon Musk qui détient 47,4 % du capital et 78,3 % des droits de vote) ou pour la première fois dans l’histoire, des astronautes privés ont effectué une sortie dans le vide spatial, jeudi 12 septembre, une performance saluée par toute la NASA, ce qui franchement n'est pas rien en terme d'image. Ce qui me permet de dire, que Donald Trump l'emportera haut la main, le peuple américain, n'étant pas totalement idiot et n'hésitera pas le jour J à préférer la réussite économique qui entoure l'équipe Trump, à une chanteuse certes milliardaire, mais qui ne fait que suivre les délires idéologiques de Kamala Harris, qui promet à tous, des lendemains qui chantent, sans jamais dévoiler la réalité de son programme mortifère pour l'Amérique toute entière, voir pour le reste du monde. Kamala c'est le videabyssale, devenue Procureur par le jeu de la promotion canapée, elle a été imposée à Biden par l'aile gauche démocrate ou il faut bien l'avouer, elle n'a pas brillé par son talent en qualité de Vice Présidente, échouant platement dans le dossier de l'immigration par exemple. Kamala, qu'on le veuille ou non, c'est une candidate par défaut de seconde zone, et nous verrons bientôt très vite retomber le soufflé, n'ayant aucune chance face à un candidat qui lui a un bilan solide à présenter en tant que Président. Quand vous interrogez les travailleurs américains, aucun ne vous dira du mal de sa présidence, leur qualité de vie s'étant améliorée sous son mandat. En outre l'élection de Trump, c'est l'assurance que nous ne connaitrons pas une troisième guerre mondiale, il arrêtera très vite la boucherie en Ukraine, et sera un ardent défenseur du retour au calme à Gaza. Faites moi confiance, j'étais l'un des très rares à pronostiquer la victoire de Trump en 2016, alors que le déchainement médiatique mondiale en faveur de H. Clinton battait son plein. Il faut croire que l'histoire recommence, vu les absurdités que l'on entend sur tous les plateaux télés de LCI à BFMTV en passant par les reportages ridicules de France 2. La France file un mauvais coton avec sa pensée unique qui nous conduit vers une décadence dont vous n'imaginez même pas l'ampleur...A bon entendeur...
Elon Musk, c'est tout ce qu'on voudra, sauf la moitié d'un con, loin des paillettes de Taylor Swift, il impose une vision à l'Amérique et franchement à qui faire confiance ? Aun hommequi réussit tout ce qu'il entreprend ou à une Kamala Harris, qui comme en 2016, n'est portée que par la Bobo-Sphère américaine, ce qui est bien peu en terme de programme... Au final si Elon Musk a senti le danger que représente Kamala Harris en soutenant officiellement Donald Trump, le peuple américain, ferait bien de s'interroger et vite. On a vu le désastre pour un pays comme l'Ukraine d'élire un Paltoquetde cabaret, alors imaginer un peu puissance 10 ce qui arrivera à l'Amérique si par malheur elle faisait le mauvais choix...Mais je n'y crois pas une seconde, le bon sens reprendra le dessus le jour J...et une fois de plus toute la faune journalistique de France ce sera ridiculisée...C'est écrit...
Un dernier mot : Kamala Harris, c'est un peu notre Marine Le Pen à nous, les électeurs hésiteront au dernier moment à plonger dans le vide, avec Donald Trump, ils savent ou ils les emmènent, tandis qu'avec Kamala...
Les intérêts sur la dette américaine dépassent 1 000 milliards de dollars pour la première fois, faisant exploser le déficit budgétaire du mois d'août à un niveau record
2024 était l'année où le déficit budgétaire galopant des États-Unis était censé se normaliser progressivement et où, après deux années de crise, les États-Unis étaient censés mettre un terme à leurs dépenses effrénées. Et pendant un certain temps, tout semblait être sur le point de se produire, le déficit cumulé des États-Unis dépassant initialement celui de 2023 - oubliez les années 2021 et 2022 complètement folles, où le déficit a atteint le chiffre ahurissant de 18 % du PIB...
... avant de ralentir lentement pendant quelques mois, pour ensuite repartir à la hausse vers 2023 en août...
... quand CELA s'est produit : un déficit budgétaire en août d'un montant stupéfiant de 380 milliards de dollars, en hausse de plus de 50 % par rapport aux 243 milliards de dollars de juillet, et de plus de 55 % par rapport à juillet, et de 66 % par rapport à août dernier... oh, et presque 100 milliards de dollars de plus que l'estimation médiane de 292,5 milliards de dollars, ce qui explique peut-être pourquoi le Trésor a discrètement divulgué le chiffre en le divulguant après 5 heures du matin HE, quand tout le monde dormait, et non à l'heure habituelle de 14 heures HE.
C'est vrai, dans une année où le déficit budgétaire mensuel serpentait à la manière joyeuse de Tchernobyl, ni génial, ni terrible, quelqu'un dans l'administration Biden a eu la brillante idée de dépenser une somme métrique d'argent pour relancer l'économie afin que nous n'ayons pas de récession juste à temps pour les élections, et bien sûr, les dépenses publiques sont passées à la vitesse supérieure, atteignant le montant ahurissant de 686 milliards de dollars, le plus élevé depuis mars 2023, et seule une poignée de mois de crise pendant le crash du Covid ont vu des dépenses publiques plus importantes au cours d'un mois donné.
Mais si l'on regarde la situation dans son ensemble, la tendance est malheureusement à la baisse pour une raison simple : nous avons désormais franchi le moment de Minsky en ce qui concerne les dépenses d'intérêts des États-Unis sur leur dette, qui, comme le savent les lecteurs réguliers, atteint un nouveau record chaque jour - elle vient de dépasser les 35 300 milliards de dollars - et augmente d'environ 1 000 milliards de dollars tous les 100 jours. Cela signifie qu'avec des taux d'intérêt à leur plus haut niveau depuis 40 ans, la prédiction que nous avions faite en juillet dernier s'est finalement réalisée car, selon le communiqué budgétaire d'aujourd'hui, le montant dépensé en intérêts bruts en août s'est élevé à 92,3 milliards de dollars...
Ce qui signifie que le total cumulé pour l'exercice 2024 - où il reste encore un mois avant la fin de l'année fiscale (qui se termine le 30 septembre) - vient d'atteindre un niveau record de 1 049 milliards de dollars, la première fois dans l'histoire que les intérêts sur la dette américaine ont dépassé 1 000 milliards de dollars.
Et pire encore, ce chiffre n'est même pas annualisé (comme expliqué, il ne concerne que 11 mois de l'année) : annualisé, la dette américaine s'élève à 1 158 milliards de dollars, soit 1 200 milliards de dollars arrondis comme l'admet le Département du Trésor lui-même...et la chute stupéfiante est qu'à ce jour, les intérêts bruts sur la dette américaine ont dépassé non seulement les dépenses de défense, mais aussi la sécurité du revenu, la santé, les prestations aux anciens combattants et Medicare, et constituent désormais la deuxième plus grande dépense du gouvernement américain, après la sécurité sociale, qui représente environ 1,5 billion de dollars annualisés.
Mais attendez, il y a plus : les derniers chiffres confirment que nous sommes en bonne voie pour atteindre notre autre prévision du 1er avril, selon laquelle les États-Unis atteindront un montant insensé de 1,6 billion de dollars de dépenses d'intérêt d'ici la fin de l'année...
... ce qui signifie que les frais d’intérêt dépasseront bientôt les dépenses de sécurité sociale et deviendront la plus grosse dépense du gouvernement américain, au plus tôt fin 2024 ou début 2025.
En d’autres termes, le jeu est terminé.
Ce qui soulève la question :pourquoi Trump voudrait-il être aux commandes alors que le château de cartes s'écroule enfin ? Laissons Kamala s'en charger...
Bolsonaro mène une manifestation massive pour la liberté d'expression après l'interdiction de X par la Cour suprême
Des milliers de Brésiliens ont envahi les rues de la ville samedi pour protester contre la croisade de censure du gouvernement contre la plateforme de « liberté d'expression » X d'Elon Musk.
La manifestation, qui s'est tenue samedi, jour de l'indépendance, a été menée par l'ancien président brésilien Jair Bolsonaro - qui a déclaré en réponse au juge de la Cour suprême Alexandre de Moraes : « J'espère que le Sénat fédéral mettra un frein à Alexandre de Moraes, ce dictateur qui fait plus de mal au Brésil que Luiz Inacio Lula da Silva lui-même . »
Plusieurs comptes X notables, dont le journaliste Michael Shellenberger, rapportent leur reportage depuis le boulevard principal de Sao Paulo, où des dizaines de milliers de personnes se sont rassemblées aujourd'hui en opposition au président brésilien d'extrême gauche Luiz Inácio Lula da Silva et au juge de la Cour suprême Alexandre de Moraes qui ont récemment bloqué X dans tout le pays.
Voici d'autres informations de Shellenberger sur la situation :
Le président brésilien Lula et le juge de la Cour suprême Alexandre de Moraes ont déclaré qu'ils devaient bloquer X pour protéger l'indépendance du Brésil. X est une plateforme pour des mots dangereux, faux et haineux, disent-ils, et beaucoup de ces mots violent les lois et la Constitution du Brésil.
Mais leur censure va bien au-delà de ce que permet la constitution brésilienne. Le gouvernement a exigé que X et d’autres réseaux sociaux censurent et bannissent des personnes, y compris des journalistes et des politiciens. De telles interdictions sont immorales, illégales et inconstitutionnelles. Elles constituent une ingérence électorale et portent atteinte à la démocratie en empêchant les candidats de faire passer leur message.
Je suis d’accord avec le fait que mentir est mal, que les discours de haine sont laids et qu’il y a des limites à la liberté d’expression. Nous ne devons pas permettre aux gens d’utiliser des mots qui conduisent directement à la violence physique.
Mais tout le monde ment, tout le monde profère des discours de haine, et les limites de la liberté d’expression ne doivent jamais inclure les élections. Imaginez ce qui se passerait s’il était illégal de mentir : tout le monde devrait aller en prison, à commencer par les journalistes et les politiciens. Quant aux discours de haine, Lula a-t-il exprimé de la haine lorsqu’il a fait l’éloge d’Adolf Hitler ? N’exprime-t-il pas de la haine chaque fois qu’il parle d’Elon Musk et de Jair Bolsonaro ?
Les gens imputent la responsabilité du chaos du 6 janvier aux États-Unis et du 8 janvier au Brésil à la liberté d’expression. Mais les événements de ces jours-là sont le résultat d’une sécurité insuffisante, et non de propos tenus en ligne. Et si le gouvernement peut censurer les informations électorales défavorables, comment peut-on savoir si le gouvernement a volé une élection ?
La démocratie et la sécurité des élections dépendent de la liberté d’expression. L’idée selon laquelle nous devons censurer la parole pour protéger la démocratie rejoint d’autres idées orwelliennes telles que « la guerre c’est la paix » et « l’esclavage c’est la liberté ». Depuis des milliers d’années, démocratie et liberté vont de pair, tout comme la censure et la dictature.
Tout le monde sait au fond de lui que la censure est une erreur. Nous savons tous que nous sommes imparfaits et que nous ne savons pas tout. Nous savons que nous comptons sur les autres pour découvrir la vérité. Pourquoi alors tant de gens veulent-ils la censure ?
Dans un autre message publié sur X, Shellenberger a déclaré : « La foule était absolument énorme. Sans aucun doute l'une des plus grandes manifestations pour la liberté d'expression de l'histoire. »
Les journalistes de Rebel News étaient également sur le terrain, capturant la foule massive grâce à des images de drone.
La campagne de censure de la gauche contre les opposants politiques est bien connue des Américains : les démocrates ont passé des années à mener une croisade pour annuler leurs opposants politiques sous couvert de « désinformation » et de « mésinformation ».
Son fils, Eduardo Bolsonaro, a déclaré que Moraes avait l'intention de « mettre fin à la liberté d'expression dans le pays » et a appelé à la destitution du président. Il a ajouté qu'Elon Musk « comprend que la bataille est pour la liberté d'expression et transcende les questions économiques ».
Eduardo Bolsonaro s'est récemment entretenu avec la journaliste conservatrice Breanna Morello au sujet du gouvernement d'extrême gauche qui utilise le prétexte du « discours de haine » pour tuer le mouvement Bolsonaro.
La semaine dernière, peu de temps après l'interdiction de X au Brésil, aux États-Unis, l'ancien vice-président du Comité national démocrate, Keith Ellison, a écrit sur X : « Merci le Brésil. »
L’extrême gauche veut fondamentalement interdire tout discours avec lequel elle n’est pas d’accord.
En fin de compte, les politiciens d’extrême gauche des Amériques et de l’Occident ont mené une guerre ouverte contre la liberté d’expression et la plateforme de médias sociaux d’Elon Musk parce que leurs adversaires politiques et les récits non approuvés par le gouvernement gagnent trop de terrain.
La croisade contre la censure montre que l’extrême gauche est désespérée et qu’elle recourra à l’interdiction de la liberté d’expression pour faire taire ses opposants politiques.
La gauche continue de pousser :
Dans le même temps, plus tôt samedi, Anton Hofreiter, député du parti vert allemand et président de la commission de la politique européenne du Bundestag, a déclaré aux journalistes du Funke Media Group que la radicalisation en ligne était un problème majeur, soulignant la nécessité de stopper la diffusion de « contenus anticonstitutionnels » sur Internet . Il a souligné l'importance de s'attaquer aux causes profondes de la radicalisation, à la fois en ligne et au sein de la société. Hofreiter a fait valoir que les plateformes de médias sociaux qui ne respectent pas les lois allemandes et ne suppriment pas les « contenus extrémistes » devraient être bloquées, en particulier X.