FIFI LES BONS TUYAUX

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FIFI LES BONS TUYAUX : Le p'tit prono de Fifi du 24 juin à Chantilly (2-5-6-13-15-3-1-12 )

SALAIRES : LES GAGNANTS ET LES PERDANTS !

VOICI LES SALAIRES MOYENS EUROPE OU VOUS SITUEZ VOUS ?

du 22 au 26 avril 2025 :
Michael Arouet a posté les salaires mensuels moyens européens et plus que jamais on constate l’écart absolument phénoménal entre le Nord et le Sud, sans parler de l’appauvrissement incroyable de la France, de l’Espagne et de l’Italie par rapport à la Hollande par exemple !



Définitivement, il y a quelque chose de pourri au royaume de l’Euro.

En ce qui concerne la Suisse, et bien qu’ils n’aient que très peu d’industries (et encore moins de centrales nucléaires), le salaire moyen est le double de celui de la France !

Précisons
que cette carte ne prend même pas en compte le taux d’imposition, car dans ce cadre, les Français seraient définitivement ENCORE PLUS PAUVRES.

Voilà ce que nous a donné l’Union Européenne: le vol des citoyens au seul profit des pays protestants, Allemagne et Hollande.

PS: même le salaire moyen de l’Islande a 1000 euros de plus que celui des Français.

PS2: La BCE a de nouveau baissé son taux directeur ("The Governing Council decided to cut interest rates by 0.25 percentage points") ce qui nous maintient dans le taux négatif depuis 17 ans qui se calcul par taux de la BCE - vraie inflation. Revue de Presse par Pierre Jovanovic © www.quotidien.com 2008-2025

TECHNOLOGIE : LE MONDE ÉTRANGE D' ELON MUSK

 « Cyborg 1.0 » : le premier Robocop au monde doté de la reconnaissance faciale et d'une vision à 360°

La Thaïlande a lancé le premier « Robocop » au monde conçu pour détecter et prévenir la criminalité grâce à une IA avancée .

Police royale thaïlandaise/Facebook

Équipé de caméras à 360 degrés, ce cyborg de pointe assure une surveillance constante en temps réel. Baptisé « Police Colonel Nakhonpathom Plod Phai » , ce qui signifie « Nakhonpathom est en sécurité », ce robocop a été dévoilé mercredi lors du festival de Songkran, dans la province de Nakhon Pathom Son lancement a été annoncé via une publication Facebook de la police royale thaïlandaise, selon un article du Sun.

Le robocop a des caméras à la place des yeux... Police royale thaïlandaise/Facebook

Le robocop est également capable de détecter les armes, telles que les couteaux et les matraques en bois. En Chine voisine, des robots humanoïdes ont commencé à soutenir les patrouilles de police.

Rapports d'ingénierie intéressants :

À Shenzhen, des robots PM01 développés par EngineAI ont été déployés aux côtés des policiers, portant des gilets de haute visibilité. Selon les médias locaux, ces robots ont été vus en train d'interagir avec les piétons : saluts, poignées de main et commandes vocales. Une vidéo récente montre un robot PM01 saluant une foule, suscitant la curiosité quant à son utilité dans le maintien de l'ordre.

Lancé pour la première fois en décembre 2024, le PM01 offre une mobilité agile, un écran tactile interactif et une plateforme open source. Cette conception permet aux développeurs du monde entier de contribuer à son évolution en ajoutant de nouvelles fonctionnalités et capacités grâce au développement secondaire. 


L'année dernière, Logon Technology, une entreprise chinoise de robotique, a dévoilé le robot sphérique autonome RT-G, qualifié de « progrès technologique », avec une armée de ces robots sphériques aperçus dans les villes chinoises, selon The Sun. Les débuts du robot soulignent l'importance croissante de la technologie robotique. Lors de la réunion générale de Tesla du premier trimestre 2025, le PDG Elon Musk a révélé que l'entreprise se préparait à lancer la production de son propre humanoïde, Optimus (ci-dessus), cette année.

« Cette année, nous espérons pouvoir fabriquer environ 5 000 robots Optimus », a déclaré Musk. « Techniquement, nous visons suffisamment de pièces pour en fabriquer 10 000, voire 12 000, mais comme il s'agit d'un produit totalement nouveau, avec un design totalement nouveau, je dirai que nous aurons réussi si nous parvenons à atteindre la moitié des 10 000. »

« Mais même 5 000 robots, c'est la taille d'une légion romaine, pour info, ce qui est un peu effrayant. Une légion entière de robots, je me dis : "Waouh !" Mais je pense qu'on va littéralement construire une légion, au moins une cette année, et probablement dix l'année prochaine. Je trouve que c'est une unité plutôt cool, vous savez ? Des unités de légion. Donc probablement 50 000 l'année prochaine », a ajouté l'homme le plus riche du monde.

Source : https://www.zerohedge.com/political/cyborg-10-worlds-first-robocop-debuts-facial-recognition-and-360deg-camera-vision

JUSTICE : LE CAS "MARINE LEPEN" A LA LOUPE...POUR MOURIR MOINS BÊTE...

 De quoi Marine Le Pen a-t-elle été 

déclarée « coupable » ?

Pour interdire à Marine Le Pen de se présenter à la présidence de la République française, un tribunal de première instance l’a condamné pour « détournement de fonds publics » et non pas l’inverse. Ce n’est pas le délit qui lui est reproché qui a conduit à la priver de son droit d’inéligibilité, mais il a été inventé pour justifier cette peine. Étrangement, personne dans la classe politique n’a jugé bon de rappeler que la présidence du Parlement européen a changé sa conception du rôle des députés et considère, désormais, comme délictueux ceux qui persistent à pratiquer le métier initial de parlementaire européen.

Par Thierry Messan :

Marine Le Pen a été condamnée, le 31 mars 2025, pour « détournement de fonds publics » à quatre ans d’emprisonnement, dont deux fermes, à 200 000 euros d’amende et à cinq ans d’inéligibilité avec exécution provisoire, c’est-à-dire avant même une éventuelle procédure d’appel. 24 autres responsables du Rassemblement national et le parti lui-même ont fait l’objet de condamnations.

La classe politique française s’est immédiatement divisée entre ceux qui se sont félicités de voir la favorite à l’élection présidentielle écartée de la course et ceux qui l’ont déploré. Comme de bien entendu, nul n’a osé dire frontalement ce qu’il pensait, mais tous ont soit assuré qu’ils soutenaient « l’état de droit », soit qu’ils conspuaient la « tyrannie des juges ».

Derrière cette réaction à une décision historique de trois juges indépendants du pouvoir politiques, mais qui avaient bien compris les réquisitions du parquet (c’est-à-dire le point de vue du gouvernement), nul n’ose aborder la question sous-jacente du différend entre la France et la présidence du Parlement européen. Les faits poursuivis sont tous antérieurs à 2015. Or, il est impossible de comprendre pourquoi les élus du Rassemblent national ont été condamnés, alors qu’ils étaient persuadés de ne pas avoir violé la loi, sans connaître ce différend.

En voici l’explication :

À l’issue de la Seconde Guerre mondiale, le Premier ministre britannique, Winston Churchill, élabora un projet de pacification des différents européens par la création d’institutions communes entre États. On ne parlait pas encore d’Union européenne, mais soit d’une instance permettant en permanence aux gouvernements européens de se rencontrer et de négocier, soit d’une organisation réunissant les parlementaires des États européens pour qu’ils débattent ensemble. En définitive, dix États fusionnèrent les deux projets et créèrent le Conseil de l’Europe. Ils sont aujourd’hui 46. Le siège de cette institution politique fut établi à Strasbourg.

Dans la pratique, le Conseil de l’Europe a été conçu comme le volet civil de l’OTAN. Strasbourg a été choisi pour siège car c’est, culturellement, une ville franco-allemande.

Indépendamment du Conseil de l’Europe, un autre projet, économique cette fois, est né avec la Communauté économique charbon-acier (CECA), qui est devenue la Communauté économique européenne et aujourd’hui, l’Union européenne. Tout naturellement, le siège du Parlement européen fut également placé à Strasbourg qui hébergeait l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe. Cependant, compte tenu des rivalités entre les États-membres, on plaça différentes institutions de cette union économique à Bruxelles et au Luxembourg (le secrétariat général du Parlement dans le bâtiment Robert Schumann). Les parlementaires européens venaient une semaine par mois à Strasbourg, puis retournaient dans leur pays. Comme ils étaient élus non pas en nom propre, mais au nom de leur parti, dans une seule circonscription nationale (sauf entre 2003 et 2018, où il y avait huit circonscriptions régionales), ils consacraient le reste de leur temps à leur formation politique.

En 1993, le Parlement européen se dote d’un hémicycle à Bruxelles, le bâtiment Paul-Henri Spaak. Six ans plus tard, il inaugure son propre hémicycle à Strasbourg, le bâtiment Louise Weiss. À cette époque, les sessions parlementaires sont réparties entre les deux villes. Une gigantesque caravane de camions fait deux fois par mois le déménagement de l’ensemble des bureaux des parlementaires. Disposant désormais d’un bureau privé à Bruxelles, les parlementaires européens furent invités à y résider et à ne partir à Strasbourg que pour les sessions qui s’y déroulaient. Ils retournaient dans leur pays uniquement pour rencontrer leurs électeurs et pour les réunions de leur parti.

L’administration de la Communauté économique européenne, qui réside, pour l’essentiel, à Bruxelles entendait à la fois se démarquer du Conseil de l’Europe et se rapprocher du Parlement européen, va donc tout faire pour que celui-ci cesse ses allers-retours et siège en permanence à Bruxelles. C’est aussi la volonté de l’OTAN, dont les principaux bureaux sont également à Bruxelles (ou plus exactement à Mons). L’OTAN édicte les normes que la Commission propose au Parlement et que celui-ci approuve. Cependant avec le temps, le Parlement joue un rôle de plus en plus indépendant et l’OTAN a besoin de le surveiller en permanence pour qu’aucune de ses normes ne se soit rejetée.

C’est à ce moment-là que commence le différend : les Français refusent de quitter Strasbourg pour ne pas tomber trop visiblement sous l’influence des Anglo-Saxons. La présidence du Parlement exigea donc que, désormais, les élus se consacrent exclusivement à leurs activités à Bruxelles et ne s’occupent plus de leurs partis dans leurs pays.

Pour télécharger le délibéré du jugement, cliquez sur l’illustration.

Depuis lors, la totalité des partis politiques français attachés à l’indépendance de leur pays — pas seulement le Rassemblement national— entretiennent un désaccord avec la présidence du Parlement européen. Le tribunal qui a condamné Marine Le Pen a donc choisi la thèse de la présidence du PE, tandis que le Rassemblement national assurait ne pas voir détourné un centime d’argent public et avoir agi comme bien d’autres partis politiques.

Lors de son procès, Marine Le Pen a choisi de se défendre en faisant valoir qu’elle n’avait pas le choix, qu’elle était contrainte de choisir l’ancienne conception du travail des députés européens, plutôt que la nouvelle, car ses collègues refusaient qu’elle soit une députée à part entière (la politique du « cordon sanitaire »). Puisqu’elle n’avait pas sa place à Bruxelles, elle a choisi de la tenir dans son pays.

« Ce système de défense constitue, selon le tribunal, une construction théorique qui méprise les règles du Parlement européen, les lois de la République et les décisions de justice rendues notamment au cours de la présente information judiciaire, en ne s’attachant qu’à ses propres principes », écrivent les magistrats.

Il faut bien comprendre qu’il n’y a pas de règles du Parlement européen, le seul texte de référence est le Traité consolidé de l’UE qui fixe toujours le siège du Parlement européen à Strasbourg et non pas à Bruxelles. La position des députés européens français est donc la seule en accord avec les textes. Sur le fond, les magistrats n’ont pas jugé en droit et, concernant la favorite à l’élection présidentielle, ils ne pouvaient pas prendre de mesure provisoire car Marine Le Pen n’est plus députée européenne et ne peut donc pas « récidiver », selon leur conception des faits.

En condamnant Marine Le Pen, le tribunal ne l’a pas simplement privée de son droit à se présenter à la présidence de la République, elle a privé les élus français de celui de contester l’assujettissement du Parlement à l’OTAN.

Thierry Meyssan

Source : https://www.voltairenet.org/article222030.html

POLITIQUE : VIE ET MORT DU RASSEMBLEMENT NATIONAL...


Cette condamnation de Marine Le Pen, tout aussi injuste et ignoble qu’elle puisse être, porte gravement atteinte à l’ensemble de ce combat et à l’ensemble de ceux qui ont, pendant de longues années, espérés le voir aboutir. 

On n’entraîne pas 11 millions de Français à sa suite sans avoir préalablement préparé le terrain et défini les conditions du combat et de la victoire qui aurait pu s’ensuivre. On le fait encore moins si l’on a eu pour toute ambition que de pauvres et indignes intérêts personnels.

Reste « l’extrême-droite » qui n’a plus rien « d’extrême » ni même de « droite », cochant au contraire toutes les cases du politiquement correct actuel : pro-mondialiste, donc pro U.E., pro-Otan, donc pro-Ukraine et pro-guerre, elle a été pendant la crise sanitaire pro-vaccins, pro-masques, pro-OMS, pro-répression contre le personnel médical.

L’extrême-droite actuelle, et particulièrement sa représentation législative RN, est pro-tout ce que propose le gouvernement, du moment qu’elle reste bercée par une douce brise qui ne fait pas de vagues qui pourraient déstabiliser le fragile esquif sur lequel elle s’est embarquée, fragile parce que son naufrage ne dépend que de la bonne volonté de Macron auquel elle s’est entièrement soumise.

On voit donc, aujourd’hui même et à l’heure présente où j’écris, avec la condamnation de Marine Le Pen, que tous ces renoncements et reniements n’auront strictement servi à rien.

Ah non, je me trompe, cette extrême-droite n’est pas seulement pro-quelque chose, elle est aussi anti‑, et doublement, car elle est anti-antisémite, ce qui est tout à son honneur mais, et c’est là qu’elle méritera son qualificatif « d’extrême-droite la plus bête du monde », en envoyant deux émissaires en Israël, Marion Maréchal et Jordan Bardella, pour soutenir le gouvernement de Netanyaou et louer son action avec force chevrotements dans la voix. 

Ces émissaires se sont singulièrement ridiculisés aux yeux de l’opinion internationale car ils se sont rangés aux côtés du gouvernement israélien au moment même où les rues de Tel-Aviv et des grandes villes israéliennes sont pleines de dizaines de milliers de manifestants qui réclament le départ de Netanyaou.

Quel intérêt y a‑t-il à soutenir un gouvernement discrédité dont deux des principaux représentants sont poursuivis par la Cour Pénale Internationale de Justice pour crime de guerre et crimes contre l’humanité commis dans la bande de Gaza occupée ?

La seule explication à cette étrange attitude est celle que j’ai énoncée avec d’autres mots dans mon article du 27 janvier 2025, L’extrême droite en Europe : tout va changer pour que rien ne change :

À savoir que ces gens ont un besoin maladif de reconnaissance à tout prix, et ils continueront à vouloir occuper l’espace médiatique qui leur a tant fait défaut en d’autres temps, pour tenir la vedette, au prix même de paraître grotesques.

Pierre-Émile Blairon : https://nice-provence.info/2025/03/31/condamnation-marine-le-pen-extreme-droite-la-plus-bete-du-monde/

Le petit mot de Jackturf : Pour faire suite à cette entame, qui me semble pleine de bon sens, je ne peux malheureusement, guère faire preuve d'optimisme, pour le parti légué par feu J.M. Le Pen à sa fille Marine, lequel J.M. Le Pen, pas con, avait bien compris depuis le début, qu'il ne fallait jamais, en aucun cas, au grand jamais, s'approcher de l'Olympe, au risque de s'y brûler les ailes. D'où ses multiples disgressions, qui lui ont valu certes multiples condamnations, mais qui lui auront permis de repousser à chaque fois, la possibilité d'atteindre les plus hauts sommets de l'Etat (lui même, a parlé de son inconscient salvateur..). On ne dira jamais assez, combien son instinct de survie, lui a permis  de survivre au milieu de ce panier de crabes. Chose que n'a pas compris Marine, tombée comme une "bécasse", dans le piège tendu par les Juges Rouges. Le mal est fait, il est trop tard, bien trop tard et ce n'est pas les multiples "appels" qui y changeront grand chose. L'opinion publique révoltée à juste titre, au départ de cette forfaiture des juges, se lassera bien vite des rodomontades des uns et des autres, car quand le doute s'est infiltré, insidieux, dans les esprits, impossible de faire rentrer le dentifrice dans le tube, une fois qu'il en est sortie. D'autre part, l'appel n'est en aucun cas une chambre de "relaxe", tout cela est de la poudre aux yeux... Mais admettons que par un ultime miracle, Marine Le Pen soit autorisée à conquérir à la mandature suprême, le mal aura été fait, la nasse nauséabonde, s'étant refermée sur elle, la déconfiture serait totale, les français ne sont en aucun cas les américains, ils n'éliront jamais, ce qui ne serait pour eux, qu'une présumée coupable (le pire...). Quand à croire que dans l'équipe, un seul serait capable de la remplacer c'est de la douce rigolade. Même Jordan Bardella en a bien conscience, car ce n'est pas un gamin de 31 ans, aussi doué soit-il, qui accédera à l'Elysée, les Français étant désormais bien vaccinés par le cas "Macron"...Quand c'est mort, c'est mort, il faut avoir l'honnêteté intellectuelle, non seulement de le comprendre mais de le dire haut et fort à ses électeurs. 2032 serait une meilleur option et comme disait "Léo Ferré" Avec le temps, Avec le temps, va, tout s'en va...

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