FIFI LES BONS TUYAUX

FIFI LES BONS TUYAUX
FIFI LES BONS TUYAUX : Mon p'ti prono du jeudi 14 novembre à Fontainebleau (12-13-9-5-6-4-7-16)

"MAYOTTE" CE TERRITOIRE PERDU DE LA RÉPUBLIQUE

Millau : Une femme âgée de 97 ans a été victime d’une violente agression à son domicile, dans le centre-ville de Millau (Aveyron) dimanche dernier. L’habitante a été violentée et étranglée, avant d’être poussée par terre indique une source proche de l’enquête, confirmant une information de Midi Libre. Les agresseurs lui ont arraché le collier qu’elle avait autour du cou ainsi que son bracelet. Ils ont également dérobé son chéquier et des documents avant de prendre la fuite. Conduite à l’hôpital par les sapeurs-pompiers, la victime particulièrement choquée s’est vu attribuer 8 jours d’Incapacité totale de travail (ITT). De leur côté, les policiers de la sûreté urbaine du commissariat de Millau ont débuté leur enquête et ont notamment exploité les vidéosurveillances de la commune, pour tenter d’identifier les auteurs de cet acte. Des objets volés découverts : Deux suspects originaires de Mayotte âgés d’une trentaine d’années ont été interpellés dès le lendemain avant d’être placés en garde à vue. Ils auraient été hébergés par l’un des voisins de la nonagénaire, mais ce dernier a été mis hors de cause. Les biens dérobés à la victime ont été retrouvés par les enquêteurs au cours des perquisitions. Face aux nombreux éléments, les deux mis en cause ont fini par passé aux aveux. Les policiers ont également découvert des objets qui avaient été volés lors de récents vols à la roulotte (des vols commis dans un véhicule, ndlr), à Millau. Déférés, les deux prévenus ont été jugés ce mercredi dans le cadre d’une comparution immédiate au tribunal judiciaire de Rodez. L’un a écopé d’une peine de trois ans de prison dont deux ans ferme, son complice a été condamné à deux ans de prison dont un an ferme. Un mandat de dépôt a été délivré, les deux hommes ont été écroués à la fin de l’audience.

Source : https://actu17.fr/millau-une-femme-de-97-ans-etranglee-et-depouillee-a-son-domicile-deux-hommes-ecroues/

Fait divers (diront certains...), qui nous permet en tout cas d'ouvrir une page sur la face méconnue de l'immigration mahoraise, ou il est très difficile d'obtenir les chiffres exactes (et pour cause...), la plus sérieuse étude que j'ai pu trouver remontant à 2015. Il vous sera cependant ainsi plus facile d'extrapoler les chiffres pour 2021.

Comme les quatre autres Dom, Mayotte connaît une émigration forte, en hausse constante, surtout de ses jeunes adultes. La Réunion reste la première région de destination mais la métropole est de plus en plus prisée. Celle-ci attire des Mahorais plutôt étudiants ou diplômés, plus souvent en emploi et sans enfant tandis que La Réunion accueille davantage de femmes, souvent non diplômées, vivant seules avec des enfants.

Mayotte, le cinquième département d’outre-mer (Dom) depuis 2011, partage au moins une caractéristique démographique avec les quatre autres Dom : celle d’une forte émigration de natifs, notamment des jeunes adultes, vers la métropole ou un autre Dom, en l’occurrence La Réunion. Si de nombreuses recherches ont été menées depuis plus de vingt ans sur les natifs des Dom « historiques » vivant en métropole, très peu sont consacrées aux natifs de Mayotte vivant en métropole ou à La Réunion – 

À combien peut-on estimer la proportion de ces Mahorais [1] émigrés ? 

Au-delà de l’éloignement géographique avec la métropole et son statut institutionnel propre, les spécificités culturelles de Mayotte, en particulier linguistiques et religieuses, constituent, ou ont longtemps constitué, un frein important à l’émigration de la population des natifs de l’île. 

Les émigrations sont cependant en augmentation constante depuis une vingtaine d’années ; à tel point que, malgré une immigration importante, notamment en provenance des trois autres îles comoriennes, le solde migratoire de Mayotte est négatif, et ce depuis plus de dix ans (Bacheré et Frouté, 2003). Les émigrations concernent pour partie une population estudiantine, implantée principalement en métropole, mais aussi des jeunes et des femmes ayant un faible niveau scolaire (Math, 2012). 

Le premier motif de migration demeure d’ordre économique, permettant aux migrants de fuir les difficultés survenues à Mayotte, avec la transformation de l’économie locale et la monétarisation croissante des échanges, et de bénéficier des revenus sociaux de la société d’accueil [3]

De plus en plus de Mahorais quittent leur île :

En 2010, on estimait à 22 735 le nombre de natifs de Mayotte vivant en France hors Mayotte, dont 6 600 environ à La Réunion [4], soit, tous âges confondus, un natif de Mayotte sur six, contre moins d’un sur vingt en 1990 [5]

Le nombre de natifs de Mayotte vivant à La Réunion a été multiplié par trois durant les deux dernières décennies (presque exclusivement entre 1990 et 2000) et par huit en métropole (graphique 1). 

Ces dix dernières années, les émigrations se sont davantage concentrées vers la métropole, le nombre de natifs de Mayotte vivant à La Réunion étant devenu quasiment stable. La proportion des natifs de Mayotte vivant à La Réunion parmi ceux vivant en France hors Mayotte a ainsi chuté de 43 % à 29 % entre 1999 et 2010.

Une forte émigration des jeunes adultes :

La proportion de natifs de Mayotte vivant en France mais en dehors de Mayotte est particulièrement élevée dans la classe d’âge des 18-25 ans, comme l’illustrent deux indicateurs que nous avons calculés. Un premier indicateur transversal estime que, en 2010, 40 % des 18-25 nés à Mayotte résiderait en France Métropolitaine.

L’autre indicateur est longitudinal et s’appuie sur les données des deux derniers recensements réalisés à Mayotte : un natif de Mayotte sur deux âgé de 15 à 19 ans qui vivait à Mayotte en 2007 ne vivrait plus dans l’île en 2012. Un certain nombre de ces départs sont toutefois suivis de retours [7].

La Réunion et le sud de la France, premières régions d’implantation des Mahorais :

Si les migrations se font de plus en plus en direction de la métropole, La Réunion reste en 2010 la première région d’implantation des Mahorais ayant quitté leur île (29 %). Les régions du sud ou du sud-est de l’Hexagone attirent également nombre d’entre eux (28 %), notamment les régions Paca (12 %, dont 86 % dans les Bouches-du-Rhône), Midi-Pyrénées (7 %) et Rhône-Alpes (7 %). Par ailleurs, plus d’un Mahorais sur six (17 %) s’installe dans les régions de l’ouest : Bretagne (6 %) et Pays de la Loire (5 %) notamment. Enfin, 5 % s’installent en Île-de-France. Au regard de la taille de ces régions d’accueil, c’est à La Réunion que la présence de la population mahoraise reste la plus manifeste.

Pour estimer la communauté mahoraise vivant en métropole ou à La Réunion en 2010, on ajoute aux 22 735 personnes natives de Mayotte résidant en France hors Mayotte celles nées hors de Mayotte vivant dans le même logement que ces derniers. Il s’agit principalement des enfants nés après la migration, des conjoints ou des concubins non mahorais. On obtient ainsi une population de 40 664 personnes composant la communauté mahoraise : soit un rapport de 1,8 personne pour 1 natif (rapport identique en métropole et à La Réunion).

Et les Comoriens ?

En ce qui concerne les natifs des Comores, il n’est pas possible de les isoler à partir des fichiers détail individuels mis à disposition sur le site de l’Insee. L’examen des nationalités renseigne partiellement sur cette question : en 2010, 19 647 personnes de nationalité comorienne résident en France métropolitaine ou dans les Dom, dont 70 % sont nées hors du territoire français (très probablement aux Comores), 27 % en métropole, 1 % à Mayotte et 1 % à La Réunion. Elles vivent majoritairement en région Paca (38 %) et en Île-de-France (34 %) ainsi qu’en Rhône-Alpes (8 %) et à La Réunion (5 %).

À La Réunion, une migration mahoraise plus jeune et plus féminine…

Que ce soit en métropole ou à La Réunion, les Mahorais sont majoritairement âgés de 15 à 34 ans, donc nettement plus jeunes que les natifs des Dom « historiques » installés en métropole ou dans un autre Dom, tout en étant plus âgés que la population des natifs restée à Mayotte (graphique 2). Cela reflète à la fois la jeunesse de la population de Mayotte, « département le plus jeune de France » (Balicchi et al., 2014), et l’âge au départ des migrants, qui ont majoritairement entre 15 et 20 ans, comme nous l’avons vu précédemment.

La population mahoraise installée à La Réunion est plus jeune (notamment les hommes) et plus féminisée (54 %) que celle installée en métropole. Le poids des mineurs y est particulièrement important ; ceux-ci peuvent avoir accompagné leur(s) parent(s) ou les avoir rejoints un peu plus tard. Le déséquilibre hommes/femmes est particulièrement marqué à La Réunion à partir de 25 ans : le rapport de masculinité y est inférieur à 0,5 entre 25 et 65 ans, c’est-à-dire qu’il y a deux fois plus de femmes que d’hommes.

… mais également moins diplômée et moins souvent en emploi :

La part des natifs de Mayotte âgés de 18 ans et plus sans diplôme est nettement plus forte à La Réunion qu’en métropole (deux tiers des femmes et plus d’un homme sur deux, contre une femme sur trois et un homme sur quatre). La part des diplômés du supérieur y est trois fois moins importante (12 % contre 37 %). Le taux d’emploi est toujours plus faible chez les femmes (en métropole, 20 % des natives de Mayotte âgées de 18 ans et plus occupent un emploi, contre 46 % des hommes). À La Réunion, rares sont celles qui sont actives occupées (5 %) ou au chômage (24 %). En métropole, les étudiants représentent un quart des natifs âgés de 18 ans et plus contre un tiers des hommes et une femme sur cinq à La Réunion. Dans la tranche d’âge des 18-24 ans, ils représentent en métropole un jeune homme sur deux et six jeunes femmes sur dix et, à La Réunion, deux tiers des jeunes hommes et six jeunes femmes sur dix.

Plus de foyers monoparentaux à La Réunion, plus de personnes seules en métropole :

En 2010, les natifs de Mayotte vivant en métropole ou à La Réunion appartiennent très souvent à un ménage monoparental. C’est même la situation majoritaire pour les Mahoraises vivant à La Réunion, quel que soit leur âge. Les moins de 20 ans, qui sont le plus souvent des enfants des familles, sont particulièrement concernés par cette situation. Pour les adultes, une situation de monoparentalité ne signifie pas forcément que la personne n’a pas de partenaire mais qu’au moment de l’enquête, elle ne vit pas avec ce dernier. Les natifs de Mayotte vivant en métropole appartiennent plus souvent à des ménages composés d’une personne seule ou d’un couple sans enfant, situations pratiquement inexistantes à La Réunion.

Une fécondité très forte des natives de Mayotte vivant à La Réunion :

Il est possible, à partir des seules données du recensement, d’estimer la fécondité au sein de sous-populations. Les résultats obtenus montrent la très forte fécondité des natives de Mayotte vivant à La Réunion : l’Indicateur conjoncturel de fécondité (ICF) y est de 5,1 contre 3,4 pour les celles vivant en métropole (tableau 1). Cette valeur dépasse même la valeur de l’ICF des femmes vivant à Mayotte (natives et non natives). Notons cependant que l’estimation est obtenue à partir du nombre d’enfants cohabitant avec les femmes recensées ; or certains peuvent être des enfants qui leur sont confiés, ce qui peut éventuellement entraîner alors une légère surestimation des indicateurs de fécondité [8].

Tableau 1 : Indicateur conjoncturel de fécondité (ICF) et âge moyen à la maternité en 2010 (estimation) :

Lecture : les femmes natives de Mayotte vivant à La Réunion auraient en moyenne 5,1 enfants dans les conditions de l’année 2010 et leur âge moyen à la maternité serait de 31,8 ans.

Sources : * Insee, recensements de la population (RP 2010, estimations par la méthode Def) ; ** Insee État civil et recensement de la population, 2004.

Peu de mobilité entre La Réunion et la métropole :

Les trajectoires de migration semblent se faire majoritairement de Mayotte directement vers la métropole ou vers La Réunion. Cependant une installation à La Réunion est plus souvent précédée d’un passage en métropole que l’inverse.

Durant la décennie qui a précédé la départementalisation de Mayotte en 2011, les flux d’émigration se sont intensifiés et concentrés vers la métropole, La Réunion restant toutefois la première région d’accueil des Mahorais.

Nos résultats mettent en lumière des profils contrastés entre les natifs de Mayotte vivant en métropole et ceux vivant à La Réunion, reflétant pour partie des stratégies migratoires différentes : la métropole attire des personnes plutôt diplômées ou souhaitant faire des études, plus souvent en emploi et sans enfant tandis que La Réunion accueille davantage de femmes, souvent non diplômées, vivant seules et ayant des enfants, très rarement des actifs occupés ou au chômage.

Nous pouvons faire l’hypothèse qu’à mesure que sera réalisé à Mayotte l’alignement des droits sociaux sur ceux de la métropole et de La Réunion, le flux migratoire vers La Réunion devrait fortement diminuer et les candidats à l’émigration se concentrer toujours davantage vers la métropole, dans une dynamique de promotion sociale forte. 

Mayotte était, en 2013, le Dom ayant délivré le plus de passeports pour la mobilité des études à des primo demandeurs (Ladom, 2013). Une fois diplômés, certains pourraient revenir à Mayotte et bénéficier des transferts financiers dédiés au développement de l’île, notamment dans la fonction publique et les services. Mais il est fort probable qu’une partie importante de ces natifs, une fois diplômés, choisissent de rester en métropole, pour des raisons économiques mais aussi culturelles. Les comportements occidentaux, familiaux notamment, sont plus faciles à vivre loin de Mayotte, petit territoire dans lequel les modèles traditionnels sont encore forts et continuent de structurer la vie sociale. 

Cette analyse s’appuie sur les données des recensements de la population. Elles sont menées au prix d’hypothèses, compte tenu notamment de dates et méthodologies de recensement différentes. L’harmonisation des méthodologies devrait à terme faciliter ce type de travaux. De plus, la prochaine enquête « Migration, familles, vieillissement – Mayotte » apportera sans nul doute de nombreux éléments de connaissance sur la société mahoraise et ses mutations, ainsi que sur les enjeux de ces mutations en termes de cohésion sociale.

Notes

[1]

« Mahorais » est dans cet article synonyme de « natif de Mayotte ».

[2]

Les recensements à Mayotte n’ont pas été réalisés simultanément à ceux de métropole et de La Réunion. Les derniers ont eu lieu en 1985, 1991, 1997, 2002, 2007 et 2012 contre 1982, 1990, 1999 puis chaque année en continu à partir de 2004 en métropole et à La Réunion.

[3]

En 2012, les habitants de Mayotte ne bénéficient pas des mêmes droits économiques et sociaux que ceux de métropole ou des autres Dom. En particulier, le régime de solidarité chômage et le RSA, qui n’y ont été instaurés qu’en 2012, sont moins favorables et les conditions d’accès plus restrictives (Math, 2012).

[4]

Cet effectif de natifs de Mayotte est très nettement inférieur à celui des « Mahorais » vivant à La Réunion parfois avancé par les associations mahoraises (entre 40 000 et 60 000), qui est invérifiable.

[5]

Pour obtenir ces proportions, nous avons calculé une estimation du nombre de natifs de Mayotte vivant à Mayotte les années de recensements métropolitains et réunionnais en utilisant un accroissement annuel moyen lui-même calculé à partir des effectifs de natifs de Mayotte vivant à Mayotte aux différents recensements mahorais. Nous remercions l’Insee de La Réunion pour avoir mis à notre disposition les effectifs par sexe et âge des natifs de Mayotte vivant à Mayotte aux recensements de 2007 et 2012.

[6]

Calcul réalisé en appliquant la même méthode que celle décrite dans la note 5.

[7]

En effet, le rapport entre l’effectif des générations âgées de 20 à 35 ans en 2007 et celui de ces mêmes générations cinq ans plus tard est légèrement supérieur à 1 (signe d’un solde migratoire positif).

[8]

La méthode Décompte des enfants au foyer (Def) permet de calculer des indicateurs de fécondité par âge à partir d’un seul recensement, en utilisant le nombre d’enfants des foyers comme indicateur des naissances des années passées. Elle entraîne classiquement une sous-estimation du niveau de fécondité (entre 5 % et 10 %) du fait notamment de la proportion d’enfants ne vivant pas avec leur mère, de la mortalité (des enfants et des femmes) et de la qualité de la déclaration des liens de famille. Il est probable que, dans le cas des natives mahoraises vivant à La Réunion, la méthode conduise à une surestimation, compte tenu du fait que certains enfants vivant avec les femmes ne sont pas leurs propres enfants mais des enfants confiés.

[9]

À partir de 2011, la question a été modifiée et ne porte plus sur le lieu de résidence cinq ans avant le recensement mais sur celui de l’année précédant celui-ci. Compte tenu de cette nouvelle méthodologie, la variable de la résidence antérieure ne sera de nouveau diffusée par l’Insee qu’à partir du recensement 2013. Pour l’étude de la résidence antérieure, nous utilisons les données disponibles les plus récentes, celles du recensement 2008 et non 2010.

Source : https://www.cairn.info/journal-informations-sociales-2014-6-page-59.htm

Mis en ligne sur Cairn.info le 15/06/2015

LE "QI" DES FRANCAIS EN QUESTION...

https://blogs.lexpress.fr/les-dessins-dace/2017/07/26/baisse-du-qi-moyen-en-france/
 
La France en avant-dernière position du classement des “pays les plus intelligents”
France 98 de QI...
Pas de quoi être fier...

Source et article : https://www.forbes.fr/classements/classement-les-25-pays-les-plus-intelligents-du-monde/


« L'être humain est exceptionnel. Mais il sait aussi parfois se montrer très bête », remarque Julia Watzek, chercheur en psychologie à l'université de l’État de Georgie (États-Unis). Une conclusion qu'elle tire de travaux menés sur la flexibilité cognitive des singes, et qui montrent que nos cousins apparaissent bien plus enclins que nous à explorer des solutions différentes de celles qu'ils connaissent lorsqu'il s'agit de résoudre un problème.

Les chiffres sont parlants. Face à un problème, 70 % des singes capucins et des macaques rhésus n'hésitent pas à passer à une solution plus efficace que celle qui leur a été au préalable enseignée. Alors que seulement un humain sur les 56 qui ont participé aux tests s'y est risqué.

Après avoir visionné une vidéo montrant l'efficacité de la solution nouvelle, beaucoup d'humains s'y sont finalement résolus. Mais 30 % se sont malgré tout obstinés à employer la première méthode apprise. De quoi suggérer que des préjugés acquis peuvent nous mener à prendre des décisions inefficaces ou à manquer des occasions.

En conclusion, les chercheurs recommandent de réfléchir à la pertinence de notre système éducatif qui a tendance à suivre les lignes bien tracées. Ils suggèrent que nous pourrions parfois apprendre à nos enfants qu'ils peuvent aussi "penser par eux-mêmes" et imaginer des solutions loin des sentiers battus. 

Source et article : https://www.futura-sciences.com/planete/actualites/zoologie-intelligence-singes-plus-flexible-celle-hommes-52656/


Le petit mot de Jackturf : C'est ce que je me tue a expliquer à longueurs d'articles, si les gens apprenaient à penser par eux mêmes, en oubliant un moment "avachis sur le canapé" une bière à la main...les "Hanouna" et autres "Messi", ils ne se retrouveraient pas dans la situation d'esclaves des temps modernes ou ils se trouvent...Mais bon, voeu "pieux" les joueurs de flûte style "Macron" ont encore de beaux jours devant eux...

GÉOPOLITIQUE : COMMENT LES TALIBANS ONT GAGNÉ LA GUERRE SANS COMBATTRE, "DU JAMAIS VU..." MAIS BON SANG, MAIS CEST BIEN SÛR !

Pourquoi la machine à mensonges, réduit l'Afghanistan en poussière ?

Depuis 2010, le Pentagone a cartographié secrètement des gisements de minéraux en Afghanistan d'une valeur de plus de trois mille milliards de dollars américains. Ces ressources étaient, jusqu'à il y a quelques heures encore, en grande partie inaccessibles.

Ce n'est plus le cas. Les talibans (interdits en Russie) avaient, au cours de la dernière décennie, écrit lettre sur lettre aux diplomates américains et aux dirigeants du Congrès, proposant de mettre fin à la guerre en remettant ces ressources clés aux entreprises américaines.

C'est l'accord qui a été proposé aux États-Unis, presque "trop ​​beau pour être vrai", un accord qui est censé être "sur la table" maintenant que la guerre civile est terminée.

Cela ne fait que des heures, des jours courts que le président Ghani a fui la nation avec à peine plus que les vêtements sur le dos et, prétendument, 4 voitures, un hélicoptère et plus d'un milliard de dollars en espèces américaines.

En quelques minutes, une nouvelle guerre a commencé bien qu'aucun combat ne se déroule maintenant en Afghanistan et, très franchement, peu de preuves que des combats se soient déroulés là-bas pendant des semaines.

Vous voyez, la chute du gouvernement fantoche de l'Occident en Afghanistan n'est pas un peu comme la chute de Saigon, une analogie dans laquelle nous sommes récemment en train de nous noyer.

La seule guerre qui se déroulait avant cela, et pendant des années également, était celle de mercenaires rémunérés faisant juste assez pour satisfaire leurs maîtres américains.

L'argent est venu en Afghanistan, de l'argent sans fin, près d'un billion de dollars américains.

De la drogue sortait également d'Afghanistan, des projets majeurs de l'USAID, de nouvelles fermes, des travaux sur le sol, des barrages et des projets d'irrigation, tandis que des fonds encore plus sombres construisaient des laboratoires de traitement d'héroïne déguisés en "usines de nettoyage à sec".

Assez de produits chimiques de nettoyage à sec ont été acheminés par camion en Afghanistan depuis Karachi pour faire les robes de la famille royale saoudienne pendant mille ans.

Depuis des années, l'Afghanistan est un terrain de jeu pour les déviants sexuels parmi les ONG et les mercenaires contractuels, parmi les élites militaires de l'Occident, et n'oublions pas le train sans fin des législateurs et des « diplomates » dont les vacances de « danseur » les ont retenus, pour s'attarder autour des mineurs de Kaboul.

C'est la vérité, mais seulement une petite dose de vérité. La vraie « vérité » est là aussi, une autre vérité qui n'est pas dite, une histoire interdite, une histoire d'argent, de pouvoir et de crime.

Éléments de terres rares

L'Afghanistan aura besoin d'argent. Les hélicoptères et les chars abandonnés que les États-Unis avaient donnés au régime de Ghani ne valent rien sans une guerre. L'armée de 300 000 hommes payée par Washington, l'une des plus grandes et des « mieux entraînées » au monde, n'avait aucune intention de mener une guerre civile.

Vingt ans, c'est long pour se battre et mener une guerre pour un régime soutenu par les États-Unis impopulaire et totalement corrompu a toujours été une proposition perdante.

L'argent qui peut reconstruire l'Afghanistan viendra des minéraux, des mines qui peuvent maintenant être ouvertes, des minéraux qui peuvent maintenant être trouvés, une industrie qui a attendu des décennies pour décoller.

Mais pour construire cette industrie, il faut un capital investissement et des partenaires étrangers. Trois grandes nations peuvent le faire, les États-Unis, la Chine et la Russie.

Il faut aussi noter que jouer « les trois grands » les uns contre les autres a toujours été le plan des talibans une fois qu'ils ont pris le pouvoir et que « la prise de pouvoir » a toujours été une garantie.

Pour ce faire, obtenir le meilleur accord et le type d'accord qui respectera la souveraineté de l'Afghanistan, les nations doivent être libres d'investir et de construire.

Ce qui les arrêtera, c'est ceci :

Les États-Unis, s'ils sont soumis à une propagande suffisamment horrible, et cela a déjà commencé, seront contraints de « sanctionner » l'Afghanistan et toute nation qui essaiera d'y travailler.

Les projets en cours avec l'Inde et la Chine prendraient fin, des milliers d'emplois disparaîtraient mais, en plus, le développement prendrait fin. C'est ce que les États-Unis ont fait à la Syrie avec leur loi César.

La justification de l'écrasement du peuple syrien était une propagande soigneusement orchestrée et coordonnée avec le terrorisme sous faux drapeau.

C'est ce qui se fait actuellement en Afghanistan, mais la force et la direction derrière cet effort sont plus difficiles à déterminer. Il ne s'agit pas d'une lutte pour le pouvoir politique mais plutôt d'une « querelle » entre cartels bancaires internationaux qui se disputent les cadavres en décomposition du peuple afghan.

Une partie de la raison pour laquelle les États-Unis sont restés en Afghanistan était les ressources naturellesIl n'y a pas d'industrie des semi-conducteurs sans éléments de terres rares. Les fluctuations de ces marchés, sur ces marchés très secrets, les réductions de l'offre par exemple, peuvent avoir un impact rapide sur les économies nationales.

Pourquoi les États-Unis ne peuvent-ils plus construire de voitures ? Les experts disent que les semi-conducteurs ne sont pas produits, une pénurie d'éléments de terres rares pourrait-elle en être la cause ?

Eh bien, si l'Afghanistan "se connecte", c'est-à-dire n'importe quel vainqueur, même les talibans de la guerre civile, ceux qui contrôlent les éléments des terres rares, qui contrôlent la fabrication de semi-conducteurs et presque tout le reste également, perdent le pouvoir .

Par conséquent, pour les États-Unis, leurs propres sociétés minières attendent d'entrer en Afghanistan depuis des décennies.

En 1992, le "Nathan Berger Studies Project on Afghanistan" a publié un rapport sur les ressources minérales en Afghanistan. Ce rapport a décrit ce qui serait nécessaire pour restaurer l'infrastructure de l'Afghanistan après des années de conflit interne et quelles ressources pourraient être mises en ligne par la suite.

La liste des minéraux est stupéfiante, pas seulement le charbon et le minerai de fer, mais aussi les terres rares, les émeraudes, le cuivre, la chromite et une quantité considérable de pétrole et de gaz.

Ensuite, il y a les éléments des terres rares. De NBC News, 2014 :

Bien qu'il soit l'un des pays les plus pauvres du monde, l'Afghanistan pourrait être assis sur l'un des trésors de minéraux les plus riches au monde, évalué à près de 1 000 milliards de dollars, selon les scientifiques.

L'Afghanistan, un pays de la taille du Texas, regorge de minerais déposés par la violente collision du sous-continent indien avec l'Asie. L'US Geological Survey a commencé à inspecter les ressources minérales de l'Afghanistan après que les forces dirigées par les États-Unis ont chassé les talibans du pouvoir dans le pays en 2004.

En 2006, des chercheurs américains ont effectué des missions aéroportées pour effectuer des levés magnétiques, gravimétriques et hyperspectraux au-dessus de l'Afghanistan.

Les relevés aériens ont déterminé que l'Afghanistan pourrait contenir 60 millions de tonnes de cuivre, 2,2 milliards de tonnes de minerai de fer, 1,4 million de tonnes d'éléments des terres rares tels que le lanthane, le cérium et le néodyme, et des  filons d'aluminium , d'  or , d'argent, de zinc, de mercure et de lithium. . Par exemple, le gisement de carbonatite de Khanneshin dans la province afghane d'Helmand est évalué à 89 milliards de dollars, rempli d'  éléments de terres rares .

En 2010, les données de l'USGS ont attiré l'attention du groupe de travail du département américain de la Défense pour les opérations commerciales et de stabilité, qui est chargé de reconstruire l'Afghanistan. Le groupe de travail a évalué les ressources minérales de l'Afghanistan à 908 milliards de dollars, tandis que l'estimation du gouvernement afghan est de 3 000 milliards de dollars.

Au cours des quatre dernières années, l'USGS et le TFBSO se sont lancés dans des dizaines d'excursions pour confirmer les découvertes aériennes, résultant essentiellement en des cartes au trésor pour les sociétés minières.

Conclusion

CNN ou Fox News peuvent-ils transformer l'effondrement du misérable régime de Ghani à Kaboul en un nouvel « holocauste » fait de mensonges et de brouillard ?

C'est exactement ce que font des mercenaires mais pour quel client ?

Nous pourrions aller plus loin, approfondir les stratagèmes de conspirations et nous demander dans quelle mesure ce qui s'est passé avec la fin de la guerre civile en Afghanistan pourrait bien avoir été planifié et non pas par les talibans.

Comme toujours, nous demandons « pourquoi maintenant » et « qui en profite ? »

Qui contrôle la presse américaine ? Notez qu'on ne s'est pas demandé si la presse américaine est contrôlée, cette partie est évidente depuis très longtemps.

Le jeu consiste-t-il à manipuler l'industrie des semi-conducteurs, qui, si vous ne l'avez pas remarqué, est le facteur déterminant de notre époque ?

Pourrait-il être plus simple, de manipuler les marchés mondiaux des matières premières tout en jouant l'Afghanistan de la même manière que les événements dans le détroit d'Ormuz sont gérés, manipulations liés aux échanges de contrats à terme sur le pétrole.

Que pouvons-nous supposer ? Le crime à but lucratif est le jeu et si cela signifie que des millions de personnes souffrent ou même que des millions de personnes meurent, qu'il en soit ainsi.

Gordon Duff est un vétéran de la guerre du Vietnam qui a travaillé sur les problèmes des anciens combattants et des prisonniers de guerre pendant des décennies et a consulté des gouvernements confrontés à des problèmes de sécurité. Il est rédacteur en chef et président du conseil d'administration de  Veterans Today , en particulier pour le magazine en ligne « New Eastern Outlook ».

Source : 

QUINTÉ DU PMU - RAISONS ET MATHÉMATIQUES !

L'Histoire :


 1950, le jeune Guy Lux est employé dans une quincaillerie de Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine). Il organise alors des pronostics sur le Tour de France. Il promet 5.000 francs à celui qui trouvera les 3 premiers de l'étape du jour.

1954, André Carrus un polytechnicien adapte ce jeu des 3 premiers au système du Pari Mutuel. Et le 22 janvier 1954, se dispute à Enghien le premier tiercé de l'histoire, dans le Prix Uranie. Georges de Caunes, le père d'Antoine, commente la course du tiercé diffusée pour la première fois à la télévision.

1958, le jeu fut rattrapé par son succès. Patrice des Moutis, un ingénieur de l'École Centrale, que l'on surnomme "Monsieur X", touche le tiercé 35 fois dans l'ordre et 35 fois dans le désordre. Pour une mise de 294.000 francs, il empoche 5 millions. Il manque de ruiner le PMU. Le PMU interdit de faire plus de 20 fois la même combinaison.

1989, lancement du Quinté, le tiercé perd de sa superbe.

Ce qu'il faut savoir : Tous les turfistes pensent qu'il faut jouer au jeu Simple car le prélèvement est le plus faible 15% (ce qui correspond aux prélèvements que fait subir ARJEL aux PARIS SPORTIFS) 

EN FAIT il y a un meilleur jeu : Dans les trois premiers : Il y aura : 1 Favori + 1 Seconde Chance + 1 Tocard dans la majorité des cas (78% exactement).  
 
Si on récapitule les statistiques par groupe et en pourcentage, on remarque que : LES TROIS FAVORIS DE LA PRESSE GROUPE I = 112 arrivées toutes les 100 courses = 112 fois sur 300 places possibles = 37 %
 
DU QUATRIÈME AU HUITIÈME FAVORI GROUPE II = 110 arrivées toutes les 100 courses = 110 arrivées sur 300 places possibles = 37 %
 
DU NEUVIÈME AU VINGTIÈME GROUPE III = 78 arrivées toutes les 100 courses = 78 arrivées sur 300 places possibles = 26 %
 
Sur un ticket « Tiercé » à 3 chevaux : on ne peut pas mettre le groupe « tocard » pour 26% et les deux autres pour 37% chacun. En effet sur un ticket à trois chevaux comme celui du tiercé, chaque groupe sera présent pour 33% de l’ensemble. Il n’y a donc pas le dosage recherché (37% / 37% / 26%) entre groupe, cela ne va pas.
 
Sur un ticket «Quarté» à 4 chevaux : on ne peut pas mettre le groupe « tocard » pour 26% et les autres pour 37% chacun. Chaque groupe représente 25% (= un cheval sur les 4 possibles) de l’ensemble ou 50% (= 2 chevaux sur les 4 possibles) de l’ensemble et les deux autres groupes représenteront chacun 25% (un cheval obligatoire par groupe restant), cela ne va pas.
 
Sur un ticket à 5 chevaux : on peut mettre un groupe pour 20% (proche de 26% du Groupe des Tocards) et les 2 autres groupes pour 40% (proche de 37% que l'on se doit de mettre pour les Favoris et les Secondes chances). On est proche du dosage recherché.
 
Sur un ticket à 6 chevaux : on ne peut pas mettre le groupe « tocard » pour 26% et les deux autres pour 37%. Chaque groupe représente soit 16% (= un cheval sur 6) de l’ensemble ou 33 % (= 2 chevaux sur 6) de l’ensemble. On s’éloigne du dosage recherché. Cela ne va pas. 
 

Sur un ticket à 7 chevaux : on ne peut pas mettre le groupe « tocard » pour 26% et les deux autres pour 37%. Chaque groupe représente 14% (= un cheval sur 7) de l’ensemble ou 28 % (= 2 chevaux sur 7) de l’ensemble ou 43% (= 3 chevaux sur 7). Par exemple si on met 3 chevaux (= 43% assez proche de 37%) pour représenter le Groupe I et autant pour représenter le Groupe II (= 43%) il ne reste que 14% pour la représentation du Groupe III des tocards. Cela ne va pas.  
 
Seule une combinaison à 8 chevaux réunit le BON DOSAGE.
En mettant les trois premiers favoris + trois secondes chances (du 4ème au 8ème favori) + deux tocards (du 9ème et plus loin dans la liste type), on obtient la répartition suivante : 3 Favoris / 8 chevaux du ticket = 38% très proche des 37% statistiques Puis 3 Secondes chances / 8 = 38% très proche des 37% statistiques. Et 2 Tocards / 8 =  25% très proche des 26% statistiques.
 
Mais la contrainte majeure est qu'il eu fallut qu'il existât un "octuplé cad" un jeu où il fallait trouver les 8 premiers. Cela permettrait de disposer en UN SEUL TICKET ordinaire, le condensé des statistiques.
 
Comme indiqué ci-dessus, le Quinté+ est le seul qui peut correspondre le plus parfaitement aux Statistiques.
 
Mais c'est perdant pour 2 raisons :
 1. Le prélèvement de 29% soit le double du jeu simple
 2. La répartition des gains entre Ordre, désordre, Bonus4, Bonus 3.
On vous rend 1/4 de ce qui vous revient ! C'est comme si vous n'aviez en retour que (100-29)/4= 17,75% !
 
Comment résoudre ce PB ?
Il faut jouer le même type de jeux (trouver les 5 premiers sur un ticket unitaire) qui subissent moins de prélèvement que 29% et surtout qu'il n'y ait pas de répartition en 4 des gains  
 
CELA EXISTE : En effet il existe des jeux sur d'autres sites que le PMU où il faut trouver les 5 premiers sur un seul ticket ordinaire à 1€ et sans notion d'ordre qui divise le rendement par 4 .
 
Mais au final, dans tout ce qu'on entreprend, il faut donner les deux tiers à la raison, et l'autre tiers au hasard.  A bon entendeur !


Source : forum.sportyTrader

LES SAUVEURS DU MONDE...

Beaucoup ont émis l'avertissement que l'épidémie actuelle de COVID-19 est en fait le résultat d'une attaque à l'arme biologique lancée par l'état profond étasunien. Une telle théorie n'est pas forcément exagérée si l'on veut bien réfléchir à qui profite le crime finalement ? D'ailleurs impliquer la Chine, qui se serait elle même "Covidisée", ce qui n'a aucun sens quand on y réfléchi, a été une manoeuvre très habile, Donald Trump, lanceur d'alertes malgré lui, n'ayant en fait eu d'autres choix que de croire les rapports habilement rédigés provenant de l'état profond. Evidemment, les dégâts collatéraux colossaux infligés aux américains, ne plaident pas pour cette théorie, sauf que ceux qui dirigent "le monde" en sous-main, n'ont pas le même "différentiel éthique" que le simple "commun des mortels", qui n'a pas en tête lui, de vouloir "reformater" le monde...Vous me direz, on pourrait en dire autant de la Chine, sauf que pour le moment elle a autre chose à penser que de conspirer, ayant déjà suffisamment à faire pour égaler voir dépasser la puissance militaire américaine d'ici les années 2030 et puis c'est pas le genre, n'ayant jamais caché leurs ambitions hégémoniques, seuls ceux qui vivent la tête dans le sable, refusant de le voir.    

Fort Detrick est un centre médical militaire américain du United States Army Medical Command situé au nord de la ville de Frederick au Maryland. Historiquement, c'était une base du programme d'armes biologiques américaines jusqu'en 1969. De nos jours, c'est un centre de recherche biomédicale abritant un laboratoire P4, ainsi que le quartier général et principal laboratoire de l'USAMRIID. C'est le principal employeur du Comté de Frederick.


Il y a déjà eu des précédents à moindre niveaux, le cas par exemple de l'attaque à l'anthrax de 2001 aux États-Unis, est originaire de Fort Detrick, une installation d'armes biologiques de l'armée américaine. L'enquête sur l'anthrax du FBI a été close contre le conseil de l'agent principal du FBI dans l'affaire, le fil rouge de l'enquêteur remontant à des zones sombres du gouvernement américain, il était donc urgent de refermer le banc. 

Dans un premier temps, on a pu penser à une manipulation génétique qui aurait échappé aux chinois, mais ça ne tient pas la route longtemps après réflexion, il aurait fallu un concours de circonstances extraordinaires pour arriver aussi vite au résultat que nous connaissons. Non, dans ce cas de figure, il faut toujours aller au plus simple comme l'aurait supputé l'estimable "Hercule Poirot". 

A qui profite le crime ? et comment un vaccin a-t-il pu être mis sur le marché en si peu de temps, les milliards mis sur la table par Donald Trump, servant de paravent, à une vérité qui devrait éclater aux yeux de la terre entière, si les habitants de cette planète daignaient réfléchir pour une fois...Mais il faut se rendre à l'évidence, trop de popcorns ingurgités devant des émissions de téléréalités plus débiles les unes que les autres, ou à regarder des millionnaires courir après un ballon (preuve d'une civilisation non aboutie), ne pouvait que mener à la lobotomisation des esprits.  Esclave un jour esclave toujours...

Approuver un vaccin quel qu'il soit dans des temps records, comme par exemple l'utilisation de la nouvelle technologie ARN sans réels tests approfondis, pourrait s'avérer extrêmement dangereux dans le futur, les effets secondaires pouvant se déclarer des années plus tard, sauf à ce qu'ils aient été testés en secret, bien avant la pandémie, mais la nous rentrons dans le complotisme... Bref, mis devant le fait accompli et face à une propagande de tous les instants, les peuples ne semblent avoir d'autres choix, que d'être marqués du signe de la bête...

Sauveur de l'humanité vraiment ?

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