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USA : MARTIN LUTHER KING, LES DOCUMENTS...
L'administration Trump déclassifie des milliers d’archives sur l'assassinat de Martin Luther King !
Martin Luther King et Joan Baez !
Le gouvernement de Donald Trump a rendu publiques lundi 21 juillet «plus de 230.000 pages» d'archives classifiées sur l'assassinat de Martin Luther King en 1968, malgré les inquiétudes exprimées par la famille du leader des droits civiques. Le président américain a ordonné le 23 janvier par décret la déclassification des archives gouvernementales sur l'assassinat du président John F. Kennedy en 1963, ainsi que sur ceux de son frère Robert F. Kennedy, dit Bobby, et de Martin Luther King Jr en 1968.
Inquiétude sur un possible détournement
Les 230.000 pages publiées lundi portent notamment sur l'enquête du FBI, la police fédérale, sur la traque internationale de l'assassin présumé de Martin Luther King, ou encore sur le témoignage d'un de ses codétenus, selon un communiqué de la directrice du Renseignement national américain, Tulsi Gabbard, à l'origine de l'annonce. Les États-Unis «assurent une complète transparence sur cet événement tragique et décisif dans l'Histoire du pays», déclare-t-elle. Mais dans un communiqué, les enfants du célèbre défenseur des droits civiques s'inquiètent d'un possible détournement de la publication de ces documents afin «d'attaquer sa postérité ou les réalisations du mouvement».
Malheureusement pour eux, Martin Luther King avait aussi, comme tout être humain sa part d'ombre :
Bonheur conjugal ? Martin Luther King a épousé Coretta Scott en 1953, mais aurait trompé sa femme tout au long de leur mariage.
Un dossier secret du FBI sur le leader des droits civiques Martin Luther King allègue qu'il avait une série d'affaires et d'autres "aberrations sexuelles", ainsi que des liens avec le Parti communiste.
Il est daté de seulement trois semaines avant l'assassinat du Dr King en avril 1968. Le dossier a été publié dans une série de documents relatifs à l'assassinat de John F Kennedy, publié vendredi.
M. Kennedy n'est pas référencé dans le dossier et on ne sait pas pourquoi il a été gardé secret pendant près de 50 ans.
Sa couverture montre qu'il a été évalué en 1994 par un groupe de travail du FBI sur l'assassinat de JFK, qui a conclu qu'aucun document ne devrait être publié.
Une allégation, que King avait une maîtresse en Californie avec laquelle il a engendré un enfant, a été attribuée à «un individu de Los Angeles très responsable et en mesure de savoir».
Parmi ses autres accusations sont:
Le Dr King était entouré de conseillers ayant des liens étroits avec le Parti communiste des États-Unis.
Ses déclarations ont toujours été soumises à l'approbation des sympathisants communistes
Il était un partisan secret du communisme, "un marxiste de tout coeur"
Son organisation, la Southern Christian Leadership Conference, a mis en place une «esquive fiscale» pour lever des fonds pour ses activités
Le Dr King a participé à des "orgies sexuelles" et a contraint des jeunes femmes à participer
Il a eu des amours avec au moins quatre femmes, y compris la chanteuse folk Joan Baez
La liste des indiscrétions présumées aurait probablement été profondément problématique pour le chef des droits civiques si elle avait été rendue publique en 1968.
Droit d'auteurUS GOV
L'article dépeint le Dr King sous un jour extrêmement négatif, en dépit de sa réception du prix Nobel de la paix et de sa contribution à l'adoption de la loi sur les droits civils quatre ans auparavant. F.B.I.
Un «penseur lent» avec des préférences sexuelles «anormales»
Malgré la réputation historique du Dr King en tant qu'orateur, le dossier du FBI prétend que d'autres conseillers ont dicté à M. King ses textes.
King est un penseur si lent qu'il n'est généralement pas prêt à faire des déclarations sans l'aide de quelqu'un, peut-on y lire.
Les affirmations les plus salaces sur la vie sexuelle du Dr King sont contenues dans les deux dernières pages.
Droit d'auteurUS GOV
Lors d'un atelier organisé en février 1968 pour former les ministres au leadership urbain, il est allégué : Un ministre nègre (terme utilisé à l'époque) présent a ensuite exprimé son dégoût de la scène, de la consommation d'alcool, de la fornication et de l'homosexualité.
Plusieurs prostituées noirs et blanches ont été amenées de la région de Miami. Une orgie sexuelle a eu lieu toute la nuit avec ces prostituées et certains délégués.
Le document allègue aussi que le docteur King s'est également livré à une«orgie sexuelle d'ivrognes de deux jours»à Washington en janvier 1964.
Quand l'une des femmes a voulu éviter de se livrerà un acte contre nature, King et les autres hommes présents ont discuté de la façon dont elle devait être enseignée et initiée à cet égard, a-t-il ajouté.
C'est un fait que King non seulement s'adonne régulièrement à des actes adultères, mais jouit de façon anormal, en s'engageant dans des orgies sexuelles de groupe. F.B.I.
Selon ces documents, ces 20 pages archivées depuis près d’un demi-siècle et qui viennent d‘être déclassifiées, le pasteur afro-américain avait des sympathies marxistes.
Il avait aussi des mœurs dissolues et entretenait une liaison avec la reine du folk, la chanteuse Joan Baez, alors qu’il était marié et père de quatre enfants.
Voilà plus de cinquante ans que toute la gauche mondialisée nous bassine avec le chantre de la bien-pensance et voilà que soudain la face de l'Ange Noir se révèle toute autre...
Le pasteur qui aimait les orgies… payées avec les quêtes de l’église !
A des années lumière des préceptes évangélistes qu’il aimait à prêcher, ses activités et fréquentations louches allaient écailler son aura et titiller la curiosité du FBI, dont l’un des chefs était alors un certain William C. Sullivan, qui se qualifiait lui-même de « libéral »et avouait « avoir une certaine sympathie pour King, qu’il voyait comme parfait leader des Noirs en quête de droits civiques ».
Il découvrit en effet que le charismatique prêcheur, si vénéré pour sa droiture,détournait sans vergogne de fortes sommes d’argent initialement destinées à la communauté noire pour laquelle il prétendait lutter, les utilisant de surcroît, à des fins peu honorables…
« Bien qu’ayant vu pendant 30 ans, dira WilliamSullivan à l’époque, le côté peu reluisant de la vie, je peux dire que King est l’une des rares personnes complètement dégénérées que j’ai rencontré. Pratiquant l’adultère d’une manière compulsive, il s’est aliéné l’affection de nombreuses femmes mariées et en a séduit d’autres de son entourage (qui l’ont avoué publiquement), faisant aussi conduire à son hôtel nombre de prostituées, souvent deux à la fois, pour des parties qui pouvaient durer plusieurs jours… Ce genre d’activités était la norme au cours de ses tournées… King passa d’ailleurs la dernière nuit précédant sa mort, en compagnie de deux prostituées blanches et d’une autre, battue et abusée, dans une chambre du motel Lorraine (ci-dessus et dessous), à Memphis (Tennessee) ».
Les agents du FBI évoquent aussi des orgies sexuelles auxquelles aurait participé le natif de Memphis qui fut récompensé du Prix Nobel de la Paix en 1964 un an après voir prononcé à Washington une phrase passée à la postérité “I have a dream”.
