FIFI LES BONS TUYAUX

FIFI LES BONS TUYAUX
FIFI LES BONS TUYAUX : Le p'tit prono de Fifi du 14 avril à Chantilly (8-9-3-13-4-5-14-11)

Quinté à Auteuil - PRIX GASTON BRANERE - Mardi 15 avril

13H55 - Direction Auteuil, ce mardi 15 Avril 2025 pour le Tiercé-Quarté-Quinté +. ListedPour tous poulains et pouliches de 4 ans, ayant couru depuis le 1er janvier de l'année dernière inclus. Dans cette épreuve, devront s’affronter 16 partants. La course sera disputée sur 3600 mètres Haies et dotée de 110 000 €. Allocations  (49.500, 24.200, 14.300, 9.900, 5.500, 3.850, 2.750). Réf. +08. Très souple (4.1).

Lorenzo du Chênet (2), l'atout J. Reveley !


2 Lorenzo du Chênet (H4) 69kg J. Reveley : Equidia : Après de probants débuts à Auteuil, sur le parcours du jour, il était très attendu dans l'épreuve de référence du 15 mars, mais n'a pu défendre ses chances, victime d'un problème d'équipement. Il doit changer de partenaire, mais ne perd pas au change avec James Reveley. On le reprend sans hésiter. L'avis du reporter : Après une excellente rentrée sur ce parcours, il était logiquement très joué dans le Quinté+ du 15 mars, mais la selle de son partenaire a avancé ce jour-là et il a dû être arrêté devant les tribunes. Compétitif à cette valeur, il doit être repris en confiance.

Ah3h(24)3h1h3h  (61)  34.450 €

1 Emid'Io Pepe (H4) 71kg B. Lestrade Equidia : Pour ses premiers pas à Auteuil, il s'est classé bon deuxième de l'épreuve de référence du 24 février, sur le parcours, en dépit d'un manque d'expérience évident. Estimé, il est engagé dans le Prix Alain du Breil (Gr.1), le mois prochain. Même s'il a été pénalisé d'un kilo, il peut cette fois d'imposer. Gaël Lemer, entraîneur : Emid'io Pepe (1) a découvert Auteuil gentiment et y a très bien couru, refaisant des longueurs en face rien qu'en sautant. Il s'est retrouvé un peu perdu au début de la ligne droite, en voyant ses rivaux s'écarter. Après le poteau, Bertrand Lestrade s'est arrêté en catastrophe devant la haie du pavillon ! Je n'ai pas été surpris de ses bons débuts à Auteuil, je l'ai été un peu plus lorsque j'ai vu qu'il avait pris un kilo de pénalité sur cette deuxième place ! Il mesure 1,77 mètre au garrot et les 71 kilos à porter ne m'inquiètent donc pas. Il est engagé dans le Prix Alain du Breil (Gr.1) et le Quinté+ de mardi nous indiquera la prochaine direction.

2h(24)1h1h1p6h  (63)  56.300 € 

4 Le Bandacarl (H4) 68kg (4) K. Nabet : Equidia : Il n'a couru qu'en obstacle, toujours à Auteuil, et compte trois accessits en autant d'apparitions. Estimé, il est engagé dans le Prix Alain du Breil (Gr.1), le mois prochain. Il effectue certes une rentrée, mais a été préparé en conséquence. Gabriel Leenders compte sur lui. Base conseillée. Gabriel Leenders, entraîneur : Très facile, Lebandacarl (4) est un cheval estimé, raison pour laquelle je l'ai engagé dans le Prix Alain du Breil (Gr.1). Je n'avais pas trop le choix pour faire une rentrée ailleurs. Il a donc été préparé pour ce Quinté+. Je suis très confiant avec lui.

(24)4h2h4h  (60)  23.180 €

5 Grey Fighter (H4) 68kg B. Gelhay : Equidia : Visiblement fait pour l'obstacle, il a pris la cinquième place de l'épreuve de référence du 15 mars, sur le parcours, pour sa première apparition à Auteuil. Il s'agissait d'une rentrée et il va évidemment monter là-dessus, d'autant qu'un terrain moins pénible devrait l'avantager. Gros regret. Carina Fey, entraîneur : Grey Fighter (5) a pris un bon bol d'air en face la dernière fois et a bien couru. Ce cheval pas compliqué avait besoin de cette rentrée et je pense qu'il a progressé là-dessus. Il s'est très vite mis sur les obstacles car il adore ça. Ce petit cheval est fait pour ça. Je pense qu'un terrain un peu plus ferme l'arrangerait. Difficile de dire s'il peut gagner une telle course, mais il n'est pas hors sujet. Je l'aime beaucoup et il devrait confirmer ce qu'il vient de montrer. 

5h(24)4h1h3h0p6p0p9p0p  (60)  22.300 €

6 Elektrix (F4) 67.5kg (14) A. Zuliani : Equidia : Il n'a couru qu'en obstacle depuis ses débuts, les six dernières fois à Auteuil, toujours au niveau handicaps, avec une victoire et trois accessits à la clé. Troisième dernièrement de l'épreuve de référence du 15 mars, il n'y a pas d'ombre au tableau avant le coup. Une place est à sa portée. Mickaël Seror, entraîneur : Elektrix (6) a encore très bien couru en dernier lieu n'a plus rien à prouver dans cette catégorie. Pour gagner un Quinté+, il faut que tout se passe bien.

3h4h(24)Ah4hAh1h5h3h7h  (59.5)  70.635 €

9 Nonoleta (F4) 67kg T. Andrieux : Equidia : Elle avait honorablement débuté à Auteuil il y a quasiment un an jour pour jour (4e). Longtemps écartée de la compétition, elle était à court de condition pour sa réapparition. Elle va disputer son premier handicap et son mentor en attend cette fois un bon comportement. On la retient. Yann Lerner, entraîneur : Dans un terrain exigeant et après un long break, Nonoleta (9) a manqué un peu lors de sa réapparition. Elle a de très bonnes lignes sur les obstacles. Le matin, elle nous paraît bien. Avec une piste un peu plus rapide et cette rentrée qui lui a été bénéfique, elle devrait remontrer un bon visage ici.

Ah(24)2h4h(23)4p0p  (59)  14.780 €

16 Lucky Roque (H4) 64kg G. Meunier : Equidia : Ce poulain tardif n'a que trois sorties au compteur et évolue sur la bonne voie. Mardi, il va découvrir Auteuil et les handicaps. Son mentor estime qu'il a le profil pour s'illustrer sur cet hippodrome. Maintenant, il s'attaque à des éléments de qualité et plus expérimentés. En bout de piste. Julien Mérienne, entraîneur : J'ai bien aimé les deux dernières sorties de Lucky Roque (16), poulain tardif. Il courait un peu rapproché le 11 mars et se présente à un mois d'intervalle ici. Il est resté bien. Il est certes peu expérimenté, mais a couru dans des lots touffus à chacune de ses sorties. Cela ne m'inquiète donc pas trop. Je pense qu'il est pris à sa valeur, mais il affronte de bons chevaux ici. Il découvre Auteuil et les handicaps, mais il faut essayer en bas de tableau. Physiquement, il a le profil pour bien faire à Auteuil.

2hTh(24)5h  (56)  6.325 €

Récapitulatif : 2-1-4-5-6-9-16


Si on souhaite étendre, le 10 Mon Petit Prince (H4) (58.5) 66.5kg Félix de Giles.  Auteur d'une bonne rentrée à Nantes (2h), après 4 mois 1/2 d'absence, il a été amené pour ce quinté par G. Leenders, qui le pense capable d'en remporter un ce printemps. Une place semble dans ses cordes en attendant.


La synthèse de la presse :

2 (30 points) 1 (28 points) 6-10-15 (22 points) 11 (20 points) 3 (19 points) 7 (18 points) 4 (17 points) 5 (16 points) 16 (11 points) 14 (7 points) 8-9-13 (5 points) 12 (1 point)

Equidia            : 1-4-2-9-10-3-7-6

La Gazette      : 3-1-11-15-2-6-14-16

RTL                 : 1-7-11-10-3-2-14-16

Bilto                 : 1-7-15-11-5-6-2-3

JUSTICE : LE CAS "MARINE LEPEN" A LA LOUPE...POUR MOURIR MOINS BÊTE...

 De quoi Marine Le Pen a-t-elle été 

déclarée « coupable » ?

Pour interdire à Marine Le Pen de se présenter à la présidence de la République française, un tribunal de première instance l’a condamné pour « détournement de fonds publics » et non pas l’inverse. Ce n’est pas le délit qui lui est reproché qui a conduit à la priver de son droit d’inéligibilité, mais il a été inventé pour justifier cette peine. Étrangement, personne dans la classe politique n’a jugé bon de rappeler que la présidence du Parlement européen a changé sa conception du rôle des députés et considère, désormais, comme délictueux ceux qui persistent à pratiquer le métier initial de parlementaire européen.

Par Thierry Messan :

Marine Le Pen a été condamnée, le 31 mars 2025, pour « détournement de fonds publics » à quatre ans d’emprisonnement, dont deux fermes, à 200 000 euros d’amende et à cinq ans d’inéligibilité avec exécution provisoire, c’est-à-dire avant même une éventuelle procédure d’appel. 24 autres responsables du Rassemblement national et le parti lui-même ont fait l’objet de condamnations.

La classe politique française s’est immédiatement divisée entre ceux qui se sont félicités de voir la favorite à l’élection présidentielle écartée de la course et ceux qui l’ont déploré. Comme de bien entendu, nul n’a osé dire frontalement ce qu’il pensait, mais tous ont soit assuré qu’ils soutenaient « l’état de droit », soit qu’ils conspuaient la « tyrannie des juges ».

Derrière cette réaction à une décision historique de trois juges indépendants du pouvoir politiques, mais qui avaient bien compris les réquisitions du parquet (c’est-à-dire le point de vue du gouvernement), nul n’ose aborder la question sous-jacente du différend entre la France et la présidence du Parlement européen. Les faits poursuivis sont tous antérieurs à 2015. Or, il est impossible de comprendre pourquoi les élus du Rassemblent national ont été condamnés, alors qu’ils étaient persuadés de ne pas avoir violé la loi, sans connaître ce différend.

En voici l’explication :

À l’issue de la Seconde Guerre mondiale, le Premier ministre britannique, Winston Churchill, élabora un projet de pacification des différents européens par la création d’institutions communes entre États. On ne parlait pas encore d’Union européenne, mais soit d’une instance permettant en permanence aux gouvernements européens de se rencontrer et de négocier, soit d’une organisation réunissant les parlementaires des États européens pour qu’ils débattent ensemble. En définitive, dix États fusionnèrent les deux projets et créèrent le Conseil de l’Europe. Ils sont aujourd’hui 46. Le siège de cette institution politique fut établi à Strasbourg.

Dans la pratique, le Conseil de l’Europe a été conçu comme le volet civil de l’OTAN. Strasbourg a été choisi pour siège car c’est, culturellement, une ville franco-allemande.

Indépendamment du Conseil de l’Europe, un autre projet, économique cette fois, est né avec la Communauté économique charbon-acier (CECA), qui est devenue la Communauté économique européenne et aujourd’hui, l’Union européenne. Tout naturellement, le siège du Parlement européen fut également placé à Strasbourg qui hébergeait l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe. Cependant, compte tenu des rivalités entre les États-membres, on plaça différentes institutions de cette union économique à Bruxelles et au Luxembourg (le secrétariat général du Parlement dans le bâtiment Robert Schumann). Les parlementaires européens venaient une semaine par mois à Strasbourg, puis retournaient dans leur pays. Comme ils étaient élus non pas en nom propre, mais au nom de leur parti, dans une seule circonscription nationale (sauf entre 2003 et 2018, où il y avait huit circonscriptions régionales), ils consacraient le reste de leur temps à leur formation politique.

En 1993, le Parlement européen se dote d’un hémicycle à Bruxelles, le bâtiment Paul-Henri Spaak. Six ans plus tard, il inaugure son propre hémicycle à Strasbourg, le bâtiment Louise Weiss. À cette époque, les sessions parlementaires sont réparties entre les deux villes. Une gigantesque caravane de camions fait deux fois par mois le déménagement de l’ensemble des bureaux des parlementaires. Disposant désormais d’un bureau privé à Bruxelles, les parlementaires européens furent invités à y résider et à ne partir à Strasbourg que pour les sessions qui s’y déroulaient. Ils retournaient dans leur pays uniquement pour rencontrer leurs électeurs et pour les réunions de leur parti.

L’administration de la Communauté économique européenne, qui réside, pour l’essentiel, à Bruxelles entendait à la fois se démarquer du Conseil de l’Europe et se rapprocher du Parlement européen, va donc tout faire pour que celui-ci cesse ses allers-retours et siège en permanence à Bruxelles. C’est aussi la volonté de l’OTAN, dont les principaux bureaux sont également à Bruxelles (ou plus exactement à Mons). L’OTAN édicte les normes que la Commission propose au Parlement et que celui-ci approuve. Cependant avec le temps, le Parlement joue un rôle de plus en plus indépendant et l’OTAN a besoin de le surveiller en permanence pour qu’aucune de ses normes ne se soit rejetée.

C’est à ce moment-là que commence le différend : les Français refusent de quitter Strasbourg pour ne pas tomber trop visiblement sous l’influence des Anglo-Saxons. La présidence du Parlement exigea donc que, désormais, les élus se consacrent exclusivement à leurs activités à Bruxelles et ne s’occupent plus de leurs partis dans leurs pays.

Pour télécharger le délibéré du jugement, cliquez sur l’illustration.

Depuis lors, la totalité des partis politiques français attachés à l’indépendance de leur pays — pas seulement le Rassemblement national— entretiennent un désaccord avec la présidence du Parlement européen. Le tribunal qui a condamné Marine Le Pen a donc choisi la thèse de la présidence du PE, tandis que le Rassemblement national assurait ne pas voir détourné un centime d’argent public et avoir agi comme bien d’autres partis politiques.

Lors de son procès, Marine Le Pen a choisi de se défendre en faisant valoir qu’elle n’avait pas le choix, qu’elle était contrainte de choisir l’ancienne conception du travail des députés européens, plutôt que la nouvelle, car ses collègues refusaient qu’elle soit une députée à part entière (la politique du « cordon sanitaire »). Puisqu’elle n’avait pas sa place à Bruxelles, elle a choisi de la tenir dans son pays.

« Ce système de défense constitue, selon le tribunal, une construction théorique qui méprise les règles du Parlement européen, les lois de la République et les décisions de justice rendues notamment au cours de la présente information judiciaire, en ne s’attachant qu’à ses propres principes », écrivent les magistrats.

Il faut bien comprendre qu’il n’y a pas de règles du Parlement européen, le seul texte de référence est le Traité consolidé de l’UE qui fixe toujours le siège du Parlement européen à Strasbourg et non pas à Bruxelles. La position des députés européens français est donc la seule en accord avec les textes. Sur le fond, les magistrats n’ont pas jugé en droit et, concernant la favorite à l’élection présidentielle, ils ne pouvaient pas prendre de mesure provisoire car Marine Le Pen n’est plus députée européenne et ne peut donc pas « récidiver », selon leur conception des faits.

En condamnant Marine Le Pen, le tribunal ne l’a pas simplement privée de son droit à se présenter à la présidence de la République, elle a privé les élus français de celui de contester l’assujettissement du Parlement à l’OTAN.

Thierry Meyssan

Source : https://www.voltairenet.org/article222030.html

Quinté à Chantilly - PRIX DE ROISSY - Lundi 14 avril

15H15 - Direction Chantilly, ce lundi 14 Avril 2025 pour le Tiercé-Quarté-Quinté +. Classe 2 : Pour chevaux entiers, hongres et juments de 4 ans et au-dessus. La course sera disputée sur 1200 mètres, Ligne Droite, et dotée de 53 000 €. Allocations (26.500, 10.070, 7.420, 4.240, 2.120, 1.590, 1.060). Réf. +18.5. Bon (3.2). Supplémenté le 5.

Wild West (8), l'atout Soumillon !

Arrivée 2024 : Classe 2 : 16 partants : 1200m L.D. : Réf.+19 : Très souple :

112Wild West M4 56kg (12)
      
C. Soumillon/M. Delcher-Sanchez 5.8/11'13''73
210Whistle A. F. M4 57kg (2)

    
H. Journiac/H. de Nicolay 33/13/4
32Purest Time M4 60kg (1)
      
S. Pasquier/M. Delcher-Sanchez 15/1TETE
44Denver C. M4 59.5kg  (9)

    
A. Crastus/O. de Montzey 16/1TETE
515Sister of L. F4 54.5kg (10)
    
C. Demuro/M. Guarnieri 14/1CENC
 
66Raysteve
  
M. BarzalonaENC
77Forchester H5 58kg (13)

    
A. Madamet/E. Monfort 26/1CENC
88Drogo
    
T. Piccone1
99Impitoyable
    
Mlle A. MolinsTETE
1014Pradaro H9 55kg (8)
      
Mlle S. Vogt/Mme S. Lanslots 14/1ENC
115O Trasno
      
E. Hardouin1 3/4
121Baileys Blues
      
I. Mendizabal5 1/2
133Chirimiri
    
M. Guyon5
1416Khan
    
F. LefebvreTETE
1511French Defense
      
A. LemaitreTETE
1613Koutsounakos
    
Mlle P. Cheyer12


8 Wild West (M5) 59kg (9) C. Soumillon : Equidia : Ce n'est autre que le tenant du titre de cette épreuve ! Très en forme après un break, il vient d'enlever un Quinté+ sur la ligne droite bellifontaine. Cela lui vaut logiquement sept livres de pénalité et les réserves de son mentor. Mais il reste associé à Christophe Soumillon et peut se placer. Mauricio Delcher-Sanchez, entraîneur : Wild West (8) a confirmé sa bonne rentrée en s'imposant plaisamment dans un Quinté+ à Fontainebleau. Il a été logiquement pénalisé après cette victoire et il faudra que tout se déroule parfaitement pour espérer de nouveau faire l'arrivée.

1p3p(24)2p0p0p0p0p0p1p  (40.5)  110.860 €

9 Agoria (F4) 57.5kg (3) S. Pasquier Equidia : Ce sera une première sur le parcours pour cette pouliche qui a encore peu couru et s'est révélée sur ce type de tracé cet automne. Sa valeur a certes "explosé" après deux victoires, mais elle avait de la marge. Après une réapparition satisfaisante à ce niveau, elle peut cette fois s'imposer. Christophe Ferland, entraîneur : Agoria (9) est restée en très bonne condition depuis sa plaisante quatrième place, pour sa rentrée. Je suis confiant, la jument arrive en pleine possession de ses moyens. De surcroît, son bon numéro de corde devrait nous permettre de disputer activement l'arrivée.

4p(24)4p1p1p2p3p3p0p0p  (39)  64.280 € 

3 Game Run (H6) 61kg (4) M. Grandin : Equidia : Cet ancien élève de Patrice Cottier a rejoint les boxes d'Elias Mikhalides en début d'année. Pour sa rentrée, il s'est honorablement comporté dans un Quinté+, bien que péchant par excès de fraîcheur. Confirmé sur le parcours et dans cette catégorie, il dispose d'une chance régulière. Elias Mikhalides, entraîneur : Game Run (3) a beaucoup tiré lors de sa rentrée à Fontainebleau. Il a beaucoup consommé durant le parcours et n'avait plus trop de ressources pour finir, mais je trouve qu'il a bien couru malgré tout. Il est en bonne condition et se comporte très bien le matin. S'il bénéficie d'un bon parcours, il devrait prendre une part active à l'arrivée.

6p(24)8p0p2p2p4p0p0p2p  (42.5)  206.920 €

13 Mctenett (M4) 55kg (7) M. Guyon : Equidia : Ce sujet qui semblait végéter dans la catégorie des Quinté+ s'est affirmé lors de sa dernière sortie (2e). C'était sur la ligne droite bellifontaine, muni pour la première fois d'œillères classiques, et déjà associé à Maxime Guyon. Même s'il aurait préféré un terrain plus souple, il faudra compter avec. François Monfort, entraîneur : La dernière sortie de Mctenett (13) à ce niveau est bonne. Il était muni d'œillères pour la première fois et cela a été bénéfique, car il s'est montré beaucoup plus concerné. Ma seule crainte est le terrain, j'espère que la piste ne va pas trop sécher, car il affectionne les terrains souples. J'attends tout de même une bonne prestation de sa part.

2p4p3p0p(24)5p7p4p9p3p  (36.5)  79.535 €

4 National Service (H8) 60.5kg (14) C. Demuro : Equidia : C'est sur ce parcours que ce sujet qui se produit peu dans les handicaps a gagné son seul Quinté+ ! Désormais compétitif au poids dans cette catégorie, il ne faut pas tenir compte de son récent échec à ParisLongchamp, pour son retour sur le gazon. On le reprend sans hésiter. Jérôme Reynier, entraîneur : National Service (4) revient sur le parcours de sa dernière victoire (Quinté+). Il ne faut pas tenir compte de sa dernière sortie à ParisLongchamp, où il effectuait sa rentrée sur le gazon. Le cheval s'est montré un peu trop allant, il a beaucoup consommé et l'a payé pour finir. Je pense qu'il devrait mieux se comporter lundi, d'autant qu'il revient à une valeur qui lui confère une chance. Hormis son numéro à l'extérieur, je ne lui vois pas de point négatif.

0p4p4p5p0p(24)2p5p2p1p  (42)  270.162 €

5 Rock Boy (H6) 60.5kg (2) M. Barzalona : Equidia : Ce sujet prometteur en début de carrière, vainqueur d'un Groupe 3 à 3 ans, a ensuite été écarté deux ans de la compétition. S'il n'évolue plus au même niveau, il a montré qu'il pouvait s'illustrer dans les Quinté+. Même si ce n'est pas le vrai spécialiste de la distance, il aura son mot à dire. Richard Chotard, entraîneur : Rock Boy (5) a sûrement eu du mal à encaisser sa bonne rentrée du 20 janvier à Cagnes. Le cheval est en forme et a déjà bien performé sur la distance l'été dernier à Deauville. Certes, j'aurais préféré une piste nettement plus souple, mais l'état du terrain devrait lui convenir malgré tout. Sur sa fraîcheur, pourquoi pas ?

0p2p(24)7p4p6p4p1p2p2p  (42)  99.760 €

14 Big Log (H5) 54.5kg (8) T. Trullier : Equidia : Ce sera une première pour lui sur un tracé rectiligne et une distance aussi courte ! C'est un test qui peut se révéler concluant, selon son mentor, pour ce sujet qui avait brillé dans les Quinté+ à 3 ans, mais dont les dernières sorties n'incitent guère à l'optimisme. Un pari amusant. Pauline Prod'homme, entraîneur : Nous avons été déçus de la dernière performance de Big Log (14). Mais celle-ci comporte des excuses. Le cheval a plongé très tôt dans l'open stretch, alors qu'il possède une pointe de vitesse assez courte. Je suppose également qu'il a pris un coup durant le parcours, car il est rentré avec un hématome au niveau d'un boulet. Ses courses précédentes étaient bonnes et le cheval nous a montré qu'il revenait en forme. Je fais un test sur cette distance plus courte, car il est souvent allant au départ. Si celui-ci s'annonce concluant, nous poursuivrons dans ces Quinté+ réservés aux sprinteurs.

0p8p0p0p0p(24)5p6p3p5p  (36)  85.720 €

Récapitulatif : 8-9-3-13-4-5-14


Si on souhaite étendre, le 11 Forchester (H6) (38) 56.5kg (13) C. Lecoeuvre. Auteur d'une excellente rentrée (6è) sur plus long (1600m), après 9 mois d'absence environ, ce spécialiste de la distance, qui n'a plus à faire ses preuves à ce niveau (6 sur 10 dont 1 victoire), s'il ne subit pas le contrecoup, devrait donner chaud aux favoris. Edouard Monfort confiant. 


La synthèse de la presse :

8-9 (31 points) 13 (28 points) 3-5 (27 points) 15 (19 points) 4 (16 points) 10 (14 points) 2-6-11 (11 points) 16 (7 points) 1 (6 points) 12 (5 points) 7-14 (2 points)

Equidia            : 9-13-4-3-16-14-8-2

La Gazette      : 8-15-13-5-9-10-16-3

RTL                 : 5-15-11-6-13-8-9-3

Bilto                 : 4-3-8-9-5-6-15-13

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