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BlackRock à l'assaut de l'UKRAINE...

 BlackRock réalise un dépeçage en règle de l’Ukraine

Le géant de l’investissement BlackRock va conseiller l’Ukraine.

BlackRock multinationale US, dont le patron Larry Fink est un mentor pour Macronescu, est aujourd’hui le premier gestionnaire mondial d’actifs, gérant près de 9000 milliards de dollars. Soit environ 15 à 18 fois le budget d’un pays comme la France.

Poudre aux yeux et copinages pour parasites gloutons

Le « travail » de ces banksters consiste à acheter et revendre des actions et des obligations sur les diverses bourses mondiales. Leur surface financière leur permet d’être présents dans les Assemblées générales et les Conseils d’administration de 17 000 sociétés de plus de 30 nations…

Ils conseillent aussi les gouvernements sur les moyens les plus efficaces de dépouiller les contribuables et de faire fructifier l’argent confisqué à ceux qui travaillent vraiment. Quand il est à court d’idées géniales, le Mozart de la finance fait appel à leurs services.

Parfois il y a des « arrangements » secrets entre les protagonistes, ce qui est contraire aux lois de la Bourse. Lorsqu’ils se font prendre pour leur manque de transparence et leurs déclarations incorrectes, ils paient une « modeste » amende qui passe au profits et pertes. Comme quand les Allemands les ont taxés de 3,25 millions d’euros pour leurs « erreurs » et leurs « négligences ». Entre gens de la Haute, on ne parle pas de délits d’initiés ni de falsifications de bilans. On laisse ça aux épiciers boursicoteurs.

Entre McKinsey et BlackRock existent des passerelles pour les dirigeants, interchangeables, et des structures bien rodées pour organiser des opérations communes. Ainsi qu’une osmose avec les gouvernements sous tutelle du NWO.

L’Ukraine est à vendre, ou plutôt à brader

Le gouvernement ukrainien et la société BlackRock ont signé un accord léonin (désavantageux pour une partie, devinez laquelle ?) visant à réaliser la vente totale des derniers actifs de l’État ukrainien qui ne sont pas encore hypothéqués au profit des financiers étasuniens. Sont ciblés tout ce qui fonctionne et rapporte encore, des terres agricoles aux usines de machines outils, en passant par les réseaux électriques et des sociétés de génie civil.

Le gouvernement ukrainien et la société américaine BlackRock Financial Market Advisory (BlackRock FMA) ont récemment signé un accord sur la création du « Fonds de développement ukrainien », comme s’il s’agissait d’achever la vente totale des principaux actifs de l’État ukrainien, de la terre noire aux réseaux électriques. Certains experts pensent que Kiev a l’intention de rembourser ses dettes de cette manière. Toutefois, cela ne se produira pas, et peut-être même que la plus riche des ex-républiques soviétiques deviendra simplement la propriété de capitaux transnationaux. 

La liste des actifs ukrainiens visés par BlackRock comprend des entreprises qui ont encore une certaine valeur malgré la gabegie et la corruption. Parmi elles, Metinvest, un groupe international de sociétés minières et métallurgiques, DTEK gros investisseur dans le secteur de l’énergie, centrales solaires, éoliennes et thermiques, voitures électriques, MHP un géant de l’agroalimentaire, Naftogaz société détenue à 100 % par le gouvernement, spécialisée dans l’extraction et le transport de gaz et de pétrole, ainsi que Ukrainian Railways et des sociétés de transport routier de passagers et de marchandises.


Par ailleurs, sur les 40 millions d’hectares de terres agricoles exploitées, 17 millions d’hectares détenus par trois sociétés US Cargill, Dupont et Monsanto, passent sous le contrôle de BlackRock… Et ces malheureux Ukrainiens courent à la boucherie en chantant, pour défendre un pays dont ils ont été dépossédés. Non par les Russes mais par les Ricains. Triste ironie de ce conflit voulu par la Maison Blanche et l’OTAN.

Des financiers sous l’œil vigilant de la CIA

Officiellement, la collaboration du Zygomyr avec BlackRock aurait commencé en septembre 2022, par la création d’un « fonds de reconstruction » pour réparer ou reconstruire les infrastructures endommagées par les combats.

BlackRock ne se contente pas d’être une super banque d’affaires prétendant se porter au secours des pays en déconfiture, elle est organisée pour les dépecer en prétendant les aider, comme de vulgaires syndics de faillites. Et après l’Ukraine, la France ?

Il y a une grande porosité entre BlackRock et le pouvoir politique aux USA. D’anciens cadres supérieurs de la multinationale peuplent les directions des administrations fédérales et évoluent comme chez eux à la Maison Blanche. Certains sont devenus des décideurs. Tel le sous-secrétaire au Trésor Wally Adeyemo qui fut aussi conseiller à la Sécurité Nationale, après avoir été vice-président de BlackRock.

Ou encore Eric van Nostrand (ci-dessus) à la fois responsable de la direction des investissements durables et des stratégies internationales chez BR, et expert de Biden pour les questions financières liées à la Russie et à l’Ukraine. Mais aussi Michael Pyle, accusé d’enrichissement indu (mais pas illégal, nuance) quand il gérait pour le compte de BR les achats de dettes d’entreprises par la Réserve fédérale. La vice-présidente Kamala Harris dite « black rock’n roll » en a fait son premier conseiller.

Parmi les têtes pensantes passées du privé à la haute politique, on peut citer aussi Brian Deese (ci-dessus), responsable mondial de l’investissement durable chez BlackRock, devenu directeur du Conseil économique national US. Ou Thomas Donilon, qui fut conseiller de Barack Obama en matière de sécurité nationale, aujourd’hui président de BlackRock investment, et son frère Mike, principal organisateur de la campagne présidentielle de Robinette, avant d’être récompensé d’un poste de conseiller particulier du Papy Gaga à la Maison Blanche.

Les vases communicants fonctionnent dans les deux sens. Entre amis, il est normal de se rendre des petits services. Ainsi l’État Major de BlackRock a intégré de nombreux officiers supérieurs de la CIA et de la NSA, plus ou moins à la retraite officielle… Et BR fait bénéficier de son expertise financière In-Q-Tel, un fonds de capital-risque financé par la CIA, dédié aux prises de participations dans des entreprises de technologies de pointe, utilisables par les services de renseignement.

Les naïfs croient que l’accord avec l’Ukraine doit servir à rembourser sa dette astronomique, puisqu’on le dit à la télé...

Or le Zygomyr n’a ni les moyens ni l’intention de rembourser quoi que ce soit. L’Ukraine déjà ruinée avant la guerre est un puits sans fond. Un tonneau des Danaïdes. Tous les milliards qu’elle reçoit sont au mieux consommés pour acheter des matériels de guerre et de la nourriture à des pays moins « généreux » que les USA et moins cons que la France.

Mais la majeure partie de ces dons se fait à fonds perdus. Sans garanties ni contrôle de leur usage. Encore heureux quand ils ne sont pas détournés par des ministres et des généraux corrompus. Placés directement dans des paradis fiscaux pour les transferts financiers et revendus rapidement dans les Balkans, au Proche Orient, voire même à la Russie, pour les matériels militaires.

Cependant, la « générosité » des Étasuniens cache une belle dose de réalisme. Tandis que les imbéciles de l’Eurocrature détruisent l’économie de leurs pays pour soutenir cette dictature bancale du tiers-monde, où règnent la gabegie et les combines à tous les étages, les USA comptent bien se payer sur la bête. Et BlackRock est leur service de recouvrements musclés.

Ce n’est pas un hasard si BlackRock est qualifié par les initiés de « nettoyeur de dettes ». Un terme emprunté à la mafia. Celui qui ne paie pas ses dettes, les nettoyeurs le pressurent et le saignent jusqu’à ce qu’ils raque ou qu’il crève, quand on l’aura dépouillé jusqu’à l’os.

Le Zygomyr, un petit gros qui met son pays à la diète

Malgré ses rodomontades, le clown Zygomyr n’est pas un imbécile. Il sait que le seul moyen de se maintenir au pouvoir est de faire durer cette guerre. Et pour cela, il lui faut toujours plus d’armes, de munitions et de liquidités… Alors s’il veut continuer à être servi, il va falloir qu’il donne beaucoup en contrepartie. Rien de plus facile pour un faisan de son acabit. C’est son pays, ou du moins ce qu’il en reste, qui va servir de monnaie d’échange pour indemniser ses créanciers… Progressivement, l’Ukraine devient la propriété des capitalistes transnationaux.

BlackRock est un empire tentaculaire sans territoire défini ni frontières, une ploutocratie informelle partout à la fois, utilisant ses capitaux pour exercer une influence politique là où la firme y trouve son intérêt.

BR est actionnaire majoritaire de la plupart des grandes banques, dirige de nombreux médias mainstream, occupe une place privilégiées chez Big Pharma, comme dans les complexes militaro-industriels US, UK et Allemands, et place ses fidèles auprès de gouvernants sous contrôle. Sénilité de l’un, cupidité ou affaires de mœurs des autres, permettent de tirer les ficelles de ces marionnettes.

Superviseur de la Banque mondiale, BlackRock coordonne également tous les programmes d’achats et d’échanges de la Réserve Fédérale des États-Unis, et de ce fait gère directement la politique du dollar et du crédit de la Fed, la banque centrale des USA.

Selon les termes de l’accord passé avec l’Ukraine, toutes les entreprises ukrainiennes stratégiques, armement, énergie, carburants, télécoms, y compris celles qui ont été « nationalisées » glissent dans l’escarcelle de BlackRock. Qui administrera directement, en plus des actifs ukrainiens, les fonds considérables provenant de l’assistance internationale.

Quant aux honoraires de BlackRock, ils seront prélevés sur les fonds envoyés par les couillons de l’Eurocrature au titre de l’aide internationale. Puisque à Kiev les caisses sont vides.

Une faillite frauduleuse bien préparée

Il est vraisemblable que les États-Unis ont envisagé, dès le départ, un défaut de paiement de l’Ukraine. Quasi-inéluctable. Auquel cas, BlackRock se retrouverait dans son rôle de prédilection de liquidateur de banqueroute. La gestion et la revente des actifs restants permettraient d’indemniser les créanciers privilégiés comme les USA. Tandis que les chirographaires, comme ces crétins d’Européistes, ne reverront jamais la couleur de leur pognon. Mais, généreux avec l’argent des autres, Macronescu accepte de passer l’éponge. Que ne ferait-il pas pour quelques papouilles avec son pote Zygomyr ?

Valeria Oleksiïvna Hontareva, 59 ans, est une banquière ukrainienne. 
Elle est présidente de la Banque nationale entre 2014 et 2017. 

Déjà à Kiev, des hauts fonctionnaires impliqués dans la mise en œuvre de l’accord avec BlackRock, sont accusés de se goinfrer au passage. Dont la directrice de la NBU, la banque gouvernementale, Valeria Gontareva. Ainsi que l’ancienne directrice du ministère des finances, Natalya Yaresko (qui a la double nationalité étasunienne).

Viktor Mykhaïlovytch Pintchouk est un homme d'affaires et 
mécène ukrainien, né le 14 décembre 1960 à Kiev.

Et coucou les revoilou, les inévitables George Soros et son fils Alexander, dont les intérêts ukrainiens sont représentés par Viktor Pintchouk, un oligarque milliardaire soi-disant mécène et philanthrope, proche du Zygomyr.

On a beau rebattre les jeux dans tous les sens, on retrouve toujours les mêmes rois, les mêmes valets et les mêmes cartes biseautées.

Christian Navis

https://climatorealist.blogspot.com/

Source : https://ripostelaique.com/blackrock-realise-un-depecage-en-regle-de-lukraine.html

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