Bruno-le-Procto contemple des trous de balle après s’être longtemps paluché dans la pénombre estudiantine, et regarde désormais la France au fond du trou, ce qui est somme toute logique.
Il entre résolument en con-cul-rance avec Marlène, laquelle mesure ses circonférences thoraco-lombaires avec un étalon “Alu-2Mètres-Outilfrance”, histoire de faire de la place pour trois.
Écrasée, gamine, chaisière-1950, Sandrine et l’émasculation de son mari avec un couteau à huîtres.
On attend avec impatience Dussopt, Attal, Séjourné, Lang dansant le sabbat final des sorcières de La Nuit sur le Mont Chauve, paroles de Pierre Bergé, adaptation musicale de Laurent Ruquier.
Que des artistes.
« Tu m’étonnes que l’agence Fitch nous note mal après ça », plaisante par exemple une utilisatrice du réseau social dans un rapprochement ironique avec la décision de l’agence de notation de dégrader l’indice financier de la France de « AA » à « AA- ».
Extrait de l’œuvre :
Un passage du dernier roman de Bruno Le Maire, « Fugue américaine », suscite les moqueries ou la circonspection de nombreux lecteurs sur les réseaux sociaux.
On remarquera que le ministre a le temps d’écrire cinq livres en quatre ans : https://www.huffingtonpost.fr/politique/article/bruno-le-maire-ecrit-sur-l-anus-et-personne-n-etait-pret-pour-ca_217261.html
Source : https://ripostelaique.com/bulot-le-maire-cest-encore-plus-torride-que-les-livres-de-cul-de-schiappa.html