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Disparition d'Émile : Un ex-membre de la CIA "savait"

Un ex-membre de la CIA "savait" où se trouvaient ses ossements depuis bien longtemps

Publié le 2 avril 2024 à 13:47

Le crâne du petit Émile a été retrouvé par une randonneuse le 30 mars 2024. L'endroit où se trouvaient les ossements de l'enfant avait été mentionné par un ex-membre de la CIA en décembre dernier.

La nouvelle est tombée à l'orée des fêtes de Pâques. Une randonneuse anonyme, qui serait une habitante de la région du Haut-Vernet selon les informations du journal Le Figaro, a retrouvé des ossements en se promenant du côté des paysages des Trois-Evêchés. Elle a rapporté, aux gendarmes, le samedi 30 mars 2024, "un crâne et quelques dents" à la surprise générale. Après quelques tests effectués sur ces ossements, le petit Émile, disparu le 8 juillet 2023 au Haut-Vernet, dans les Alpes-de-Haute-Provence, a effectivement été identifié.

L'endroit mentionné par la randonneuse avait déjà été fouillé par les équipes dédiées aux recherches et un spécialiste avait déjà ce lieu précis en ligne de mire. 

Il s'agit du Major Ed Dames, un medium qui a notamment travaillé pour la CIA et pour l'Army Psychic Intelligence Unit. Après deux journées de "visions à distance", il aurait contacté la police pour indiquer les paysages des Trois-Evêchés. Il a même montré ce fameux e-mail, envoyé en décembre 2023, au journal The Sun. Il était précisé, dans ce texte, que les "restes" d'Émile se trouvaient "à proximité" d'un champ... qui était situé près du lieu indiqué par la randonneuse.

"Je savais que c'était une affaire très sérieuse et je savais qu'il s'agissait d'une urgence", précise le Major Ed Dames, comme le rapporte The Sun.

Une "vision" de ce médium qui reste à prendre avec des pincettes car les lieux avaient déjà été fouillés scrupuleusement. Il se pourrait en effet que les ossements d'Émile aient pu être déplacés jusqu'aux Trois-Evêchés

Et reste, à tous les enquêteurs mobilisés sur place, à retrouver les autres os du fils de Marie et Colomban. Seul un squelette complet permettrait de connaître précisément la cause de la mort de l'enfant de 2 ans et demi. Un élément empêche toutefois les recherches d'avancer : le fait que la randonneuse ait touché le crâne du petit garçon pour le rapporter aux gendarmes. "Cela nous a bien contrarié, admet une source proche de l'enquête. On aurait préféré qu'elle ne touche à rien."

Source : https://www.purepeople.com/article/disparition-d-emile-un-ex-membre-de-la-cia-savait-ou-se-trouvaient-ses-ossements-depuis-bien-longtemps_a521538/1

Note de Jackturf : Les médias  semblent vouloir nous orienter sur la piste de l'accident. Au regard des faits relatés, j'inciterai à la plus grande prudence. Beaucoup de zones d'ombres en effet, à commencer par le trajet parcouru par l'enfant, 25 minutes dit-on pour un adulte, au minimum le double pour ce bambin alors. Les parents s'inquiétant au bout de 15 minutes, il restait un laps de temps d'environ 35 minutes largement suffisant pour se lancer à sa recherche et le rattraper. Deuxièmement, il n'y a pas à en sortir, les Saint-Hubert fiable à 99.99%, marquent l'arrêt au lavoir, la piste de l'enlèvement ne peut donc être négligée, d'autant que deux voisins sont formels, ayant aperçu l'enfant sur le chemin menant au lavoir, récit confirmé par l'un d'eux  à un journaliste du Parisien, disant textuellement, "j'ai vu ce que j'ai vu..." et comme l'enfant n'a pu se volatiliser par l'opération du Saint-Esprit... Troisièmement, on ne peut rejeter d'un revers de main, une correction après avoir retrouvé l'enfant, qui aurait mal tournée, l'accident fatal toujours possible hélas, le bambin ne devant pas peser bien lourd.  Quatrièmement, ont été retrouvés la chemise, la culotte et les chaussures. Quid du short ? Cinquièmement, les chaussures de randonnée de l'enfant à priori solidement lacées, auraient du préserver les pieds de l'enfant ou au minimum contenir quelques fragments d'os, le simple bon sens il me semble...L'enfant a-t-il lui même ôté ses chaussures et pourquoi ? ou est-ce le fait d'une tierce personne ? Les enquêteurs sont bien discrets à ce sujet...Enfin pour finir, la présence sur les lieux de la randonneuse, disculpée apparemment par les gendarmes, ne peut laisser que songeur. Ou l'on apprend finalement que cette écolo de 60 ans, habitant le village, ne possède ni portable ni montre, se guidant au son de la cloche du village pour connaître l'heure...Au final, la thèse de l'accident semble bien peu probable, même si je comprends que le procureur pour les besoins de l'enquête cherche peut-être via les médias à nous orienter dans cette direction...Ont-ils une piste, qu'ils veulent taire "à bon escient" ?

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