Big Bang,
la théorie qui pourrait tout changer : ce ne serait pas l’origine de l’univers.
C'est une idée
qui fait son bonhomme de chemin dans la communauté scientifique : le
Big Bang ne serait pas le commencement de tout. Autrement dit,
contrairement au modèle standard actuel il est possible que l'Univers ait existé de toute éternité.
Le fait est qu’un
faisceau d’indices tend aujourd’hui à remettre en cause l’idée ou
l’image d’un Big Bang en tant qu’instant originel de l’Univers. Il
est en effet possible que ce que nous pensions être le "début" ne soit
en réalité qu’un point de passage ou un goulet d’étranglement entre
l’actuelle phase d’expansion de l’Univers et une phase de contraction
qui l’aurait précédée.
On parle alors de Big Bounce (grand rebond) à la place du Big Bang.
Naturellement, il s’agirait d’une immense révolution puisqu’au lieu d’avoir une origine, comme le suggère le modèle usuel, notre
univers réinvestirait l’éternité ! Il aurait alors toujours été là et
ce que l’on croyait être le Big Bang ne serait qu’un état
extraordinairement dense (autour de 10^93 g/cm^3) qui séparerait
deux états distincts : celui de "tassement" et celui de "dilatation" de
l’espace. Il deviendrait donc enfin possible d’évoquer l’avant Big Bang
(ou plus exactement donc l’avant Big Bounce). Blablabla, blablabla...
Et
voilà, c'est reparti pour nier l'existence même de la création, pensez
donc, un Univers tout fait, tout prêt, qui aurait toujours existé...Ah
la belle fable à raconter à une espèce humaine en perdition...
Avant
de commencer, je vous invite à bien situer notre Terre sur cette
simulation de la Voie Lactée ou vous remarquerez que notre Système
solaire est étrangement excentré, comme si une main invisible avait
voulu le cacher, le protéger au maximum de tous les dangers
sillonnant l'espace Intergalactique, sans compter d'éventuels
prédateurs, pouvant exister parmi la centaine de milliards de galaxies
existantes.
Les astronomes
estiment qu’il y a entre 100 et 200 milliards de galaxies
dans l’univers connu. Une seule galaxie, comme la Voie Lactée, peut
contenir plus de 200 milliards d’étoiles normales. Pour donner un ordre d'idée ou se situe notre toute petite planète, prenez 100 milliard de bottes de foin ou vous glisserez une "tête d'épingle" dans
l'une d'entre elle, et dispersez ses 100 milliards de bottes de foin
aux quatre-vents. Quelles seront vos chance de retrouver la tête
d'épingle ? Désolé de vous le dire aussi crûment les amateurs de S.F,
mais avant que E.T. viennent vous rendre visite, il va s'écouler du
temps, beaucoup de temps...
Après cette aparté, rentrons dans le vif du sujet : J'ai toujours été étonné d'entendre des amis, des connaissances, ou même simplement de lire sur les forums, des gens vous expliquer doctement d'arrêter de se prendre la tête avec ça, "on vit, on meurt et on retourne à la poussière, fin de l'histoire"...Ah... et c'est tout ?
A l'évidence, tous
ces braves gens happés par le consumérisme ambiant, ne se sont visiblement plus
étendu depuis belle lurette, sur l'herbe emprunt de la rosée du soir, lors d'une nuit étoilée, ne serait-ce que pour admirer la danse des étoiles et le
merveilleux chant qu'elles émettent par leurs vibrations, qui pénétrera
votre être tout entier, le berçant comme on berce un nouveau né, pour
peu que vous vous laissiez aller un moment à rêver...
Alors quoi, on
vit, on meurt et puis c'est tout ? Tout ce que vous avez appris, que
dis-je ingurgité durant toute votre existence, ne nourriraient à la fin
que les vers ? Allons, un peu de bon sens, je ne parle pas de ce qu'on
vous a appris à l'école, ni même au travail, non je parle de l'école de
la vie, celle qui vous oblige à accomplir des actes au jour le jour,
parfois avec raison, mais parfois aussi contre votre nature profonde,
car la vie l'a voulu ainsi, vous laissant ce libre arbitre, qui fait de
vous des "Hommes vivants debout" et qui au soir du dernier
jour, agitera votre conscience sur tous les actes accomplis durant votre
vie..."La connaissance du bien et du mal", voilà le cadeau ultime fait par "le ou les créateurs" à l'homme, pour qu'il puisse vivre et prospérer en toute liberté.
Et ces "charlatans de scientifiques", pas
tous heureusement, voudraient remettre tout cela en question, en nous
expliquant maintenant que tout était déjà écrit, figé dans le marbre et
que nous ne sommes que les marionnettes d'un jeu de lego, se
construisant et se défaisant en un mouvement perpétuel, ou l'avant et
l'après se mélangeraient ?
Voilà bien la,
la science des charlatans, qui refusant l'évidence et se trouvant si
petits, si médiocres, devant l’incommensurable "mécanique céleste" s'inventent une histoire à dormir debout.
En fait, tous
ces pseudos scientifiques font une confusion majeure à "tout vouloir
mettre en équation", car si effectivement les nombres régissent "l'ordre
des choses" (Les savants grecs nommaient alors l’Univers l’Ordre des Choses,), ils
ne régissent pas l'essence même de la vie, qui elle, est soumise à un
tout autre ordre, relevant de l'étincelle "Divine" qui fait que tout
peut prendre soudain vie. Prenez une horloge, si vous ne la remontez pas
ou si vous n'y mettez pas une pile, elle restera la, figée bêtement à
vous regarder, ayant pourtant tout ce qu'il faut pour donner l'heure.
Donc, il
a bien fallu que vous lui donniez vie en la remontant, et par ce geste,
vous venez de rejoindre sans le savoir, la théorie de Saint Thomas
D'Aquin, qui dit que "tout ce qui se meut est mû par un autre" point final...
Nécessité fait loi : C'est
une constante remarquable depuis que le monde est monde, le passage
obligé de la vie à la mort. Pourquoi, tout ce qui vit aujourd'hui doit
obligatoirement mourir demain ? Certains passant de vie à trépas plus
vite que d'autres, par exemple la mouche (20 jours en moyenne) pour
environ 200 ans pour les tortues géantes, et même le fameux "éon" si
cher au coeur de Jean Emile Charron aurait une durée de vie limité à
900.000 ans environ (ce qui ne signifie pas qu'il retourne au
néant, mais plutôt qu'il se transcende, passant d'un état X à un état Y,
pouvant peut-être prétendre ainsi à l'immortalité de l'âme si tant est
qu'elle existe).
Pour
Charon, l'esprit est né dès les premiers instants du big bang, et a
donc très largement précédé l'apparition du premier neurone. Il ne
s'agit pas de l'esprit tel que nous le concevons, mais d'un esprit
infiniment petit (par la taille seulement) et qui ressemblerait plutôt à
un électron, ou plus probablement à l'ombre imperceptible de celui-ci.
Jean Charon
disait que le monde n’est pas inerte et que l’Univers est entièrement
vivant. "Je crois que l'Univers est sacré, mais je sens que l’objectif
de cet Univers est de se faire connaître d’abord". Sa priorité était
d'expliquer comment est faite la Matière, qu'il appelait " la
psychomatière ", considérant qu'elle est à la fois matière et esprit.
Pour cela, il a proposé un modèle représentant à la fois la partie
Matière et la partie Esprit, l'éon, un élément matériel qui serait
porteur de l’Esprit et de la conscience. Il pensait aussi que la vision
mécaniste du Monde était en train de changer. On a d'abord pensé le
monde créé par Dieu. Ensuite, on a pensé que le monde fait par Dieu
était un monde de Matière. On arrive aujourd'hui à l'étape d'un monde
fait de Matière et aussi d’Esprit, et l'on découvre que cet Univers est
entièrement vivant. "À mon avis,disait-il, c’est la grande découverte de notre époque. On est au sein d’un Univers immense, et c’est un Univers vivant et raisonnable.". La
mort selon lui demeurera un mystère tant qu'on ne saura pas ce qu’est
exactement la vie ni comment les particules vivantes se forment jusqu'à
constituer un être organisé. À la mort du vivant, il subsiste quelque
chose qui rayonne à l’échelle du cosmos entier. Le
passé reste le passé, le futur reste le futur, mais au présent nous
sommes une partie de cet Univers qui a le même âge que nous. Cette
position rompt évidemment avec la conception ultra matérialiste du Big
Bang et pose l'hypothèse d'un univers en perpétuelle création. Chaque éon pourrait être considéré comme un 'hologramme, un reflet, de l'univers entier. C'est en ces éons que notre esprit serait contenu.
Les particules étant éternelles ou presque, (on parle la plutôt d'une
transmission de savoir), notre esprit collectif existerait depuis le
début de l'univers et, après notre mort, continuerait à participer à son
devenir. Au fur et à mesure de l'évolution de l'univers, avec
l'accumulation de l'expérience existentielle et vécue, l'expansion de la
mémoire "éonique" construirait une complexité croissante des structures
et du psychisme. Les éons conscients piloteraient les transformations
physiques, chimiques, organiques et mentales nécessaires, tant à
l'intérieur des corps vivants que dans tout l'univers. Tous les éons,
les êtres et les choses seraient un jour reliés et en harmonie avec la
totalité de l'univers.
Bref : Pour revenir à notre Big Bang, nous pouvons émettre plusieurs hypothèses :
1 : Celle de Charron,
qui nous dit que les milliards de éons existant ou préexistants,
auraient tout simplement voulu se matérialiser par la libération commune
de leur énergie.
2 : Celle plus religieuse,
qui voudrait que l'esprit premier de l'univers représentant l'alpha et
l'oméga, est décidé soudain pour une raison X, de créer le monde tel que
nous le connaissons, sans que l'on sache très bien finalement à quel
moment cette entité spirituelle a pu se décider, le temps et l'espace ne
pouvant encore exister à ce moment la. Plus curieux encore, c'est le
pourquoi ? En effet comment un être de lumière, décrit comme parfait,
éprouverait le besoin de créer quelque chose dont il connaîtrait par
avance la finalité ? C'est un peu comme si vous alliez voir un film,
dont vous connaîtriez la
fin, Dieu n'est-il pas omniscient de nature? Pourtant c'est cette
solution qu'on retenu les auteurs de la Bible, présentant les êtres
humains sous couvert d'amour divin, comme de simples adorateurs, certes
libres de leurs faits et gestes, mais soumis aux commandements, le dos
courbé en signe de soumission. Solution qui ravale finalement l'homme au
rang de simple serviteur, soumis en permanence au courroux d'un Dieu
vengeur, ce qui a eu pour conséquence de traumatiser des générations
de spermatozoïdes, lesquels accablés de remord, iront plus tard, remplir
les salles de "spermatospychiatres" qui auront su s'adapter.
3 : Celle de Jackturf, qui pense que l'éventuelle erreur commise par nos scribes (inspirés ou non ?) serait d'avoir ramené Dieu au niveau de simple être humain (Dieu fit l'homme à son image ?) mu
par l'obligation d'assurer la survie de son espèce, alors qu'il parait
pourtant évident que Dieu se suffisait à lui même, et que pour éviter la
soumission du Père au Fils, il n'a eu d'autres choix que d'imploser (L’implosion
est l’inverse de l’explosion. Elle se produit lorsque la pression
externe à un objet est plus grande que celle à l’intérieur et que cette
différence est assez grande pour briser la résistance mécanique de ce
dernier, la bombe A par exemple, utilise le principe de l'implosion pour obtenir une réaction en chaîne).
Le sacrifice ultime, l'amour sublimé à son paroxysme, car en mourant,
Dieu libérait l'homme, bien avant qu'il fasse ses premiers pas sur
terre, de toute forme de soumission, possédant désormais en lui,
l'étincelle divine. Soit une "déification" de l'être humain refusée par
les auteurs de la Bible, préférant y substituer un Dieu toujours vivant,
n'ayant rien d'autre à faire que de nous juger à l'heure de notre mort.
Au final, le Dieu de la création, ne reviendra jamais en tant que tel,
vivant désormais en chacun de nous pour l'éternité des temps... (Pour
ceux qui se demanderaient comment la pression externe a pu être
supérieur à celle de Dieu puisqu’il n’y avait rien au départ, je
répondrai que Dieu dans son Omniscience savait parfaitement qu’en
libérant sa formidable puissance créatrice, l’Univers nouvellement créé
engendrerai une poussée telle, que sa propre implosion deviendrait
inévitable. En clair il y a eu transmutation volontaire d’un état de
force X (Dieu) en un état de force Y (L’univers tel que nous le
connaissons).
4 : Celle tenue par les amateurs de S.F :
Possible, en effet après tout, que venant d'un autre univers, une autre
dimension, allez savoir, que ce qu'on appelle "les créateurs de mondes"
se soient amusés à une forme d'expérience scientifique, le Big Bang,
n'étant après tout que le déchaînement d'une certaine forme de fusion
nucléaire à l'échelle cosmique, ou par contre, toutes les données
mathématiques auraient été introduites par avance, pour
un ordonnancement parfait de la matière, une condition indispensable,
pour conduire à une certaine forme d'évolution menant à la vie.
5 : Celle de la génération spontanée : Une
notion "aristotélicienne" tombée en désuétude qui attribuait
l'apparition d'un être vivant sans ascendant, sortant de nulle part,
indépendamment de la matière inanimée. Effectivement, difficile de
donner un quelconque crédit à cette théorie, sauf à comprendre, qu'il y
aurait une sorte de "matrice universelle", pas forcément animée d'une
conscience telle que nous la concevons, cachée derrière le rideau du
néant, expulsant la vie continuellement sous forme de poussières
d'étoiles, brrr, pas très réjouissant, le travail à la chaîne avant
l'heure quoi.
6 : Celle de nos nouveaux charlatans :
Qui consiste à nous faire croire que l'univers tel que nous le
connaissons a toujours existé et que le Big Bang en question ne serait
qu'un reflet du passé et de l'avenir, avalant et crachant les soleils en
un espèce de mouvement perpétuel. Moi je veux bien, mais je reviens à
mon horloge, "qui la met en marche" ? Sinon une main extérieure. Alors
qui a bien pu animer ce gigantesque concert interstellaire ? Qui a bien
pu mettre en mouvement des astres, sinon morts, du moins inertes ? Qui a
bien pu manier la baguette tel un chef d'orchestre surdoué, pour que
tout se meuvent avec une précision mathématique confondante ? Oui qui ?
La seule chose que je leur accorde, c'est que le néant n'existe pas, le
néant par nature, étant la négation même de toute forme de vie,
fut-elle microscopique. Il faut donc croire qu'une certaine forme de vie
éthérée a toujours existé, constituant par la même, la matrice de
l'univers...
7 : Le Big Bang du hasard :
Dans certaines cosmologies, l'univers est le résultat d'un hasard
créateur, le seul problème c'est que le hasard n'ayant aucune logique
interne, il faudrait un tel concours de circonstances sur des milliards
de milliards de probabilités pour que l'on arrive au résultat que nous
connaissons, que cela me laisse plutôt sceptique, mais la encore je
dirai, pourquoi pas ?
x
Pour revenir un moment sur la notion de "nécessité fait loi" l'on
peut se demander à juste titre ce qu'il advient de nous après la mort.
Tout ce qui vit, doit mourir un jour ou l'autre et même si la science
pourra permettre un jour à l'homme de vivre quelques centaines d'années,
voir plus, il n'en demeurera pas moins mortel. Alors que se passe-t-il après ?
Pour ma part, je
ne suis pas très éloigné de la théorie de Jean Emile Charron, à la
différence près que j'oserai dire, ce qu'en tant que scientifique, il
n'a pas osé formuler, c'est que les "éons" qui nous habitent, ne sont rien d'autre en fait, que nos "âmes" ,
lesquelles, libres désormais de toute contrainte terrestre, iront sur
un autre plan astral, rejoindre non pas notre créateur (vous l'avez
compris), mais l'ensemble de la communauté des "éons" pour
communiquer, transmettre, échanger à leur tour, leurs informations,
dans un perpétuel ballet, comparable au bourdonnement d'une ruche.
Ils se sont réincarnés !
Il va de soi,
que nous sommes bien loin la, de la théorie de la réincarnation que je
respecte, mais à laquelle je n'adhère pas une seconde. Une théorie qui
voudrait que nous soyons enfermés dans un incessant processus consistant
à nous faire revivre indéfiniment, pour effacer les erreurs du passé,
jusqu'à atteindre le stade ultime du Nirvana. Ben dis donc y a du
boulot, et je ne suis pas sur que l'éternité y suffise. Et puis, ou
serait la justice divine la dedans ? Car enfin, pour que justice il y
ait, il faudrait que nous soyons tous mis à chaque renaissance, dans
la même situation de richesse ou de pauvreté, de bonne santé ou de
maladie et que sais-je encore, bref, des milliers, des millions,
des milliards de situations diverses, impossible à obtenir bien entendu,
mêmes étalées sur la durée de vie de la planète (et oui, même notre bonne vieille Terre mourra un jour).
Mais alors, qu'advient-il de nos fautes me direz vous, c'est un peu facile votre histoire, ou personne ne subirait de punitions divine. En fait,
la punition telle que nous la connaissons et la pratiquons, est un
concept purement humain, car c'est oublier un peu vite que tout a
été conçu pour que nous subissions ici-bas et tout de suite, le choc en
retour de nos fautes. En effet, qui n'a jamais reçu un jour sur cette
terre, un juste retour d'une faute commise ? Les exemples ne manqueront
pas, si vous étudiez un peu votre conscience...Alors, je peux donc
affirmer sans trop me tromper, que 99 % de nos fautes ont déjà été expiées ici-bas, soit par "le choc en retour", soit tout simplement par la justice des hommes, la double punition n'étant pas au menu céleste...
Pour les autres, qui auront par miracle échappés à la justice immanente,
il paraît évident que sous une forme ou une autre, leur "âme"
devra rendre des comptes, car n'oublions jamais que celle ci naît dès
la naissance, et qu'elle fait donc partie intégrante de l'enveloppe
corporelle, et ne saurait donc en ce sens, échapper à toute forme de
responsabilité. Le châtiment peut prendre diverses formes, de
l'expiation des fautes commises dans un tourment plus ou moins long et
violent, à la pire des sentences, consistant à l'annihilation totale de
l'âme (Dans le langage populaire, perdre son âme), aucun jury n'étant nécessaire, l'âme portant déjà en elle, le jugement et la sanction.
De l'utilité de la vie : Vaste sujet, ou certains diront qu'elle ne sert à rien finalement, vivre, souffrir, mourir, pour qui pour quoi ? Ma foi, ça peut se comprendre. D'autres, des jouisseurs invétérés diront, vivons, profitons avant que de mourir. Ma foi, la aussi, je ne pourrai leur donner tort. D'autres enfin, diront, vivons du mieux que nous pouvons pour que demain soit meilleur qu'hier. Ceux la approchent de la vérité.
La vérité en tout cela, c'est
que l'homme n'appréhende pas assez le formidable destin qui lui est
promis. La plupart des gens, ne vivant que dans l'immédiateté du
consumérisme ambiant, n’œuvrant jamais réellement pour un projet
commun, remettant toujours à demain, ce qu'il conviendrait pourtant de
faire aujourd'hui. L'homme n'est-il qu'une stupide machine, a qui l'on
demande de vivre comme s'il devait mourir demain, travailler, consommer
sans jamais se poser de question. Mais enfin, dans quel état allez vous retrouver votre âme au soir du dernier jour ? Ce
n'est pas cette vie que "Dieu" ou toute autre forme de pensée, a voulu
pour l'homme, mais cela il le savait bien, quand il a nous a laissé
libre de vivre comme nous l'entendons, en nous munissant du bien le plus
précieux qui puisse exister en ce bas monde, "la connaissance du bien et mal", condition
nécessaire à toute vie qui se voudrait évoluée. Le ou les créateurs,
savaient bien que l'homme trébucherait, qu'il ferait de multiples
erreurs ou "la science sans conscience" causerait de multiples dégâts, mais il savait aussi que pour que l'homme soit "vraiment libre"
et non pas un simple exécutant de la volonté divine, qu'il lui fallait
apprendre de ses erreurs, quitte à en payer le prix fort parfois.
Au final,
vous avez donc compris, qu'il ne sert à rien d'injurier le très haut
pour les croyants, ou d'invoquer le mauvais sort pour les autres, nos
malheurs, nos joies, nos peines, étant le prix à payer pour être des "Hommes vivants debout" et non de simples marionnettes, contraintes de subir le joug d'on ne sait quelle entité...
L'homme en fait est né,
pour un projet autrement plus ambitieux, comme celui de conquérir les
étoiles et de s'y multiplier, jusqu’à que, débarrassé de son enveloppe
charnelle, il puisse enfin entrevoir la vérité et à son tour donner la
vie et alors la boucle sera bouclée.
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